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Credits image : Benjamin Voros / Unsplash

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La NASA : un Géant qui vise la Lune mais se prend les pieds dans les combinaisons

« Dans l’espace, personne ne vous entendra râler sur les retards de la SNCB. » Bon, il se pourrait que nos plaintes terrestres contre les retards habituels ne parviennent pas aux oreilles de l’univers, mais il semble que même la NASA ne soit pas à l’abri des contretemps cosmiques !

La NASA, ce vieux briscard de l’espace, avait des étoiles plein les yeux avec son programme Artemis, promettant une présence permanente sur la Lune. Mais voilà, l’Agence de la responsabilité gouvernementale des États-Unis a jeté un regard scrutateur sur ces ambitions lunaires. Selon leur dernier rapport du 28 novembre, malgré de solides avancées, l’objectif de poser à nouveau des bottes sur la Lune fin 2025 semble aussi lointain que… eh bien, la Lune.

« Il semble que l’on puisse dire adieu au rendez-vous lunaire de 2025 ! »

Prenons une fusée temporelle : les grandes missions de la NASA mettent en moyenne six ans et demi à se développer. Vouloir partir en 2025, c’est comme vouloir griller la priorité à la lumière à un feu spatial. Cependant, la nouvelle exploration lunaire avec ses engins et ses combinaisons spatiales futuristes – aussi sujets aux consignes strictes de sécurité spatiale soient-ils – ne sera probablement pas prête à temps pour cet ambitieux rendez-vous.

Mais qu’est-ce qui coince ? L’Artemis III n’est pas un simple saut de puce. C’est une odyssée complexe avec lancements, transferts entre vaisseaux et séjour d’une semaine au pôle sud lunaire, tout ça avec un retour épique dans le Pacifique. On parle de fusées géantes, de transferts audacieux entre Orion et un Starship de SpaceX, d’explorations périlleuses – un scénario digne d’Hollywood.

Deux soucis majeurs causent des insomnies aux ingénieurs de la NASA : un retard dans le développement du lander lunaire et la conception des nouvelles combinaisons. Et la compagnie SpaceX a beau avoir été mandatée pour le job à 2,89 milliards de dollars, elle n’a pas chômé mais doit encore affronter les défis de la conception, sans compter les tests explosifs de leurs fusées géantes. C’est dans l’ADN des missions spatiales : expérimenter, rater, refaire. Quant aux combis spatiales, il semblerait qu’Axiom Space soit encore loin de pouvoir habiller nos astronautes pour le grand bal lunaire.

En bref, la NASA et SpaceX, c’est un peu comme une start-up qui promet la lune, mais qui se heurte à la réalité… spatiale. On prévoit donc un petit détour par 2027 avant de pouvoir envoyer nos emojis depuis le sol lunaire. Mais pas d’inquiétude, un petit pas pour SpaceX, un grand pas pour la patience humaine.

Source : Mashable

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