La technologie financière est-elle en passe de changer la donne pour les start-ups africaines ? Ce sujet fascinant mérite d’être abordé sous l’angle de Verto, une société londonienne qui permet aux petites entreprises et aux start-ups d’échanger de l’argent à l’étranger. Pourquoi cette société est-elle si importante en ce moment ?
Verto aurait acquis un quart des clients de la Silicon Valley Bank (SVB) provenant d’Afrique et de la région MENA après l’effondrement de cette dernière. Parmi ces clients figurent Jumia, Chipper Cash et TapTap Send. Qu’est-ce que cela signifie pour les start-ups africaines ?
Les solutions de Verto pourraient redéfinir le paysage financier pour les startups africaines.
Suite à la faillite de SVB, de nombreuses entreprises ont dû revoir leurs options bancaires pour se protéger d’éventualités futures. Heureusement, des fintechs comme Verto commencent à combler le vide laissé derrière elles. Leurs services offrent-ils une alternative viable et plus sûre pour les start-ups africaines ?
Verto propose une plateforme cross-border qui permet aux start-ups et aux entreprises d’opérer des transactions dans plus de 190 pays. Le volume de transactions de Verto a augmenté de 70% l’année dernière pour atteindre plus de 3 milliards de dollars. Comment les fondateurs de start-ups africaines peuvent-ils tirer parti de cette opportunité croissante ?
Récemment, Verto a lancé des comptes en dollars américains « safeguarded » suite à la chute de SVB. Ces comptes de protection permettent aux clients de détenir des fonds dans leur compte Verto avec une protection de leurs actifs en cas d’insolvabilité. Cela suffira-t-il à convaincre les startups africaines de changer de cap et d’adopter Verto pour leur protection financière ?
Verto peut-il transformer le paysage financier des startups africaines ?
Verto Startups
Source : Techcrunch