« I, for one, welcome our new AI overlords. » – Paraphrased from ‘The Simpsons’ and every tech enthusiast who has just about automated their entire life with ChatGPT.
Bienvenue dans l’arène technologique où ChatGPT, le petit protégé de la grande famille OpenAI, s’est frayé un chemin vers la célébrité numérique – ou est-ce l’infamie? Eh bien, tel un ado turbulent, ChatGPT est passé de l’outil sympa du quartier à la super star utilisée par 92 % des entreprises du Fortune 500. Quoi de neuf donc pour ces géants de l’industrie ? Taquiner leur nouveau jouet, certes brillant, mais avec le bagage d’un feuilleton des plus trépidants, incluant l’éviction et le retour rapide de Sam Altman, le CEO – un petit drame de direction qui laisse la porte ouverte aux concurrents ambitieux. Tout cela pour dire, mes chers, que chez OpenAI, c’est pas toujours open bar !
Sur fond de cette saga, GPT-4 est là, tapotant son pied numérique avec impatience, prêt à éblouir avec son Turbo intégré et une boutique d’applications pour que monsieur et madame Tout-le-Monde façonnent et vendent leur version personnalisée de ChatGPT. Il semblerait qu’on soit tous devenus des petits dieux de l’IA, n’est-ce pas ? Pendant ce temps, OpenAI tient les rênes serrées, limitant les festivités GPT-4 aux utilisateurs ChatGPT Plus – mais rassurez-vous, vos navigateurs web préférés vous offrent une petite démo gratuite pour goûter à la magie.
« D’une tempête médiatique à une compagnie temporairement troublée, OpenAI ne manque jamais de faire parler d’elle. »
En découpant dans le jambon des mises à jour, on trouve dès décembre les abonnements ChatGPT Plus qui reviennent en force comme des papillons attirés par la lumière après une courte pause de destabilisation. Et en parlant de destabilisation, certains utilisateurs soupçonnent leur chatbot préféré de succomber à la déprime hivernale, tandis que les juges britanniques cavalent gaiement sur le dos de ChatGPT pour leur rendre la tâche légale un brin plus… légère? OpenAI se questionne, se bouscule, suspend ici et inaugure là, dans un ballet numérique où l’on ne sait plus qui mènera la danse.
Alors que la poussière de novembre ne s’est pas encore posée, rebondissements après rebondissements, ChatGPT et ses compères risquent-ils de rendre les vêtements de ces géants technologiques quelque peu ringards? Eh bien, si vous demandez à ChatGPT, il pourrait juste vous répondre avec l’esprit d’un sage qui, même désabusé et en proie à la mélancolie de fin d’année, ne perd pas son latin (ni son coding) et continue de briller – quitte à marcher sur quelques pieds en chemin. Et pour écrire l’histoire, il suffit d’une phrase, d’une question provocatrice. Mais qui sait? Demain, ce sera peut-être une IA qui écrira cet article à ma place, avec plus de jeux de mots robotisés que votre programme TV n’en comporte un samedi soir !
Qu’on se le dise, IA ou pas, il y a une chose que l’on ne peut jamais vraiment coder : Ce n’est pas parce qu’on a accès aux étoiles qu’on ne se prend pas les pieds dans le tapis. Sur cette note, gardez un œil sur ces étoiles filantes de l’IA, et n’oubliez pas de souhaiter sur elles. Qui sait, l’une d’elles pourrait bien être le génie dans la lampe, prêt à exaucer vos vœux les plus fous. Ou à vous embarquer dans une aventure digne d’un épisode de ‘Black Mirror’. Soyez prudent, un GPT dans la main n’est pas forcément celui qu’on croit!
Source : Techcrunch