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Credits image : Tim Mossholder / Unsplash

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Le lancement rapide en aérospatial : une réalité pour Firefly Aerospace?

Est-il possible que la fusée Alpha de Firefly Aerospace ait rencontré un problème après son décollage ce matin? Le décollage, qui s’est produit depuis la base de Space Force de Vandenberg en Californie à 9h32, avait pour but de mettre en orbite une charge utile de Lockheed Martin. Mais peut-on vraiment parler de succès si, quatre heures après la mise à feu censée circulariser l’orbitre, aucune nouvelle n’a filtré?

Après tout, n’était-ce pas le quatrième vol de la fusée Alpha? Le missile transportait un démonstrateur de la technologie ESA (Electronically Steerable Antenna), destiné à l’orbite terrestre basse. Mais que sait-on vraiment de l’état de cette mission baptisée « Fly the Lightning »? N’était-ce pas censé être un déploiement commercial pour le géant de l’aérospatiale, Lockheed Martin?

Et que dire de l’ESA, cette antenne qui peut être orientée électroniquement et qui, selon Lockheed, pourrait révolutionner le calibrage des capteurs en orbite grâce à sa conception exclusive? S’agit-il réellement d’un bond en avant significatif qui permettrait un gain de temps considérable par rapport aux méthodes traditionnelles?

Le succès de la mise en orbite de la fusée Alpha de Firefly Aerospace construit-il l’avenir du lancement rapide en aérospatial?

N’est-il pas vrai que Firefly a également un autre objectif en tête, comme prouver à l’US Space Force sa capacité de lancement rapide, en suivant à la lettre le nombre d’heures de travail nécessaires depuis la réception de la charge jusqu’à la préparation du lancement?

La Space Force accorde-t-elle vraiment une importance capitale à ce lancement rapide, au point d’avoir déjà été impressionnée par Firefly lors de la précédente mission Alpha, qui avait établi un nouveau record de préparation au lancement avec seulement 24 heures pour les derniers préparatifs? Veut-on encore démontrer cette capacité de réponse à la demande avec la mission actuelle?

Alors que Firefly Aerospace et la US Space Force restent silencieuses, quels pourraient être les implications d’un succès ou d’un échec de la mission « Fly the Lightning »? Cela remet-il en question la viabilité des lancements rapides et la fiabilité des nouveaux arrivants sur le marché des lancements commerciaux? En fin de compte, la question qui brûle les lèvres est de savoir: Firefly a-t-elle réussi à déployer le démonstrateur ESA en orbite comme prévu?

Source : Techcrunch

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