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Credits image : Tristan Ramberg / Unsplash

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Vente-Force: L’ascension après la tempête

« Les montagnes russes, c’est pas seulement pour les parcs d’attractions! » dirait-on chez Salesforce en guise de toast à l’ironie des hauts et des bas qu’ils ont connus récemment. Comme une barque dans la tempête, Salesforce a navigué sur des eaux particulièrement agitées en ce début d’année. Mais qui aurait cru qu’après une telle balade, le géant du CRM serait non seulement sain et sauf mais verrait aussi ses actions grimper de 96% depuis le début de l’année?

La nouvelle année avait sonné comme une mauvaise blague pour Salesforce avec le départ précipité de Bret Taylor, suivi de près par l’évaporation de Stewart Butterfield de chez Slack. On aurait dit un épisode de « Qui veut être millionnaire? » où l’on perd deux jokers coup sur coup – dramatique, n’est-ce pas?

Eh bien, cette étrange valse des dirigeants ne fut que le prélude d’une série de coups de théâtre où des investisseurs activistes s’invitaient à la fête non pour danser mais pour restructurer, réduire les coûts et tout secouer comme un cocktail trop calme à leur goût.

Salesforce, entre coups de théâtre et montagnes russes financières, démontre que la flexibilité est de mise dans le monde impitoyable de la tech.

Le pied à peine mis dans l’année, Salesforce annonçait l’arrivée de trois nouveaux membres au conseil d’administration, avec un œil complice en direction des activistes – un coup de chapeau, ou un coup d’épée dans l’eau?

Rapidement, des coupures ont suivi – 7 000 employés d’un coup, un dixième de l’effectif. On parlait d’ajustements post-pandémie, mais entre nous, ça sentait plutôt l’os à ronger lancé aux investisseurs. Les critiques n’ont pas tardé : la manière ? Pas géniale. La pression sur les ingénieurs ? Palpable. Et le refrain sur le retour au bureau ? Il a retourné le cœur des défenseurs du télétravail.

De là à dire que caractère progressiste et aura d’employeur de choix se sont évaporés chez Salesforce, il n’y a qu’un pas… que beaucoup ont franchi. Mais malgré ces remous, l’entreprise continue son avancée, telle une bête technologique inarrêtable, trouvant son chemin malgré vent et marée. En tout cas, détrompez-vous si vous pensiez que la CRM géante allait chanceler : Salesforce fait preuve d’une forme olympique sur le plan financier.

Source : Techcrunch

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