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Sème-t-il, récolte-t-il : la germination financière de Seedstars Africa Ventures

« L’argent ne pousse pas sur les arbres, mais apparemment, il semble pluvoir sur les startups africaines ! » C’est ce que doivent penser les entrepreneurs africains avec l’annonce que Seedstars Africa Ventures vient de se faire léguer un petit trésor de 30 millions de dollars par EIB Global, la branche aventurière de la Banque Européenne d’Investissement. Un engagement de taille pour ce qui est leur premier fonds d’investissement panafricain, prouvant que le business, c’est pas seulement une histoire de famille.

Après que le trésor familial ait été entamé par LBO France à hauteur de 8 millions, le duo se tourne maintenant vers une cagnotte finale oscillant entre 80 et 100 millions de dollars. L’objectif ? Investir dans les startups fraîchement émoulues des incubateurs, jusqu’aux séries A et B, dans une ambiance « show me the money » pour soutenir l’écosystème au-delà de la cour des grands.

« Du cash à foison pour des entrepreneurs panafricains surmotivés : une affaire qui prend de l’ampleur ! »

Imaginez une équipe de super héros de l’investissement, Maxime Bouan, Tamim El Zein et Bruce Nsereko Lule, qui se sont alliés au groupe Seedstars, passant ainsi de l’accélérateur à l’overdrive pour propulser les startups africaines vers les sommets. Ce fonds fier-à-bras veut non seulement jeter des pépettes, mais aussi proposer des bras chargés de compétences opérationnelles et de soutien business aussi bénéfiques qu’une mousson pour les prairies.

En 2020, l’équipe de Seedstars Africa Ventures, tel un jardinier avisé, constate qu’il manque cruellement d’eau pour arroser les jeunes pousses post-accélération. Animés par la volonté d’être à la fois panafricains et pratico-pratiques, ils concoctent une stratégie d’investissement ciblée, prêt à dégainer des liasses façon far west pour soutenir les jeunes pépites du continent.

Que vous soyez une startup en herbe ou un peu plus mûre, le VC parisien et nairobitain déboule avec un chéquier prêt à signer des sommes allant de 250,000 à 2 millions de dollars pour une première rencontre, et jusqu’à 5 millions pour un deuxième rendez-vous si le coup de foudre professionnel opère. Avec un accès VIP aux outils Seedstars et à leur réseau, les entrepreneurs pourraient presque ressentir la sensation grisante d’être passés en backstage!

Sector-agnostiques, ces investisseurs ont un faible avoué pour les entreprises qui s’attaquent aux besoins fondamentaux tels que l’éducation, la santé ou les services publics, ou qui amplifient les biens et services par la grâce de la digitalisation. Et parce que rien n’est trop beau, ils envisagent de jeter l’ancre jusqu’à 50% de leurs investissements en Afrique francophone, histoire de se distinguer dans un marché anglophone arrivé à maturité.

Cette manne serait presque de la poésie pour Edward Claessen, le chef de la région Afrique de l’Est à la EIB, qui voit dans les fonds comme Seedstars Africa Ventures les marins navigateurs d’un écosystème de startups en plein essor, promettant emplois et croissance économique. Et déjà, quatre heureux élus, dont le fournisseur d’accès internet kenyan Poa Internet, ont eu la chance de goûter à cette pluie d’investissements propice à leurs activités.

Pour finir sur une note taquine, on dirait que Seedstars Africa Ventures ne manque pas de graine… d’investisseurs !

Source : Techcrunch

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