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Credits image : Maxim Hopman / Unsplash

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« Quand les quatre roues réinventent le clic: l’odyssée des véhicules (presque) définis par logiciel »

« L’avenir est une grosse mise à jour logicielle! » Comme le grand sage de la Silicon Valley que vous n’avez jamais rencontré l’a probablement prédit, l’automobile connaît une véritable révolution digitale. Et pour cause, au dernier CES 2024, l’expression la plus populaire après « Où est le stand avec les meilleurs canapés gratuits? » était « véhicule défini par logiciel » (ou VDL pour les intimes qui manquent de temps).

Donc, qu’est-ce qu’un VDL, sinon une voiture avec une âme de geek? C’est un peu comme votre fidèle compagnon smartphone : dès qu’il se sent un peu vintage, hop, une mise à jour, et il se la pète avec de nouvelles fonctionnalités. Sauf qu’avec une voiture, c’est un poil plus complexe. Imaginez un peu : d’un coup de baguette magique Wi-Fi, votre titine pourrait se mettre à danser la lambada ou à faire le café (je m’emporte, l’avenir n’est pas encore si brillant).

Cependant, prenez garde aux illusions : l’industrie esquisse juste les premiers pas d’un tango avec la technologie logicielle. Certains analystes et experts clament haut et fort que les VDL sont déjà parmi nous (allô, Tesla!), tandis que d’autres tempèrent les ardeurs en chuchotant : « Pas si vite, jeune padawan, la Force n’est pas encore tout à fait avec nous. » La réalité, c’est qu’on est encore un peu à l’âge de pierre du flux de données roulant.

Tel le smartphone qui prend la poussière dans un tiroir, la vérité sur les véhicules définis par logiciel est peut-être un peu plus terne et complexe…

Allons-y gaiement sur les détails : un VDL, c’est un peu comme votre PC, mais en plus vrombissant. On quitte l’époque où chaque fonction avait son petit boîtier électronique perso pour un monde merveilleux où deux ou trois cerveaux électroniques orchestrent un ballet mécanique qui se synchronise en douceur au son des mélodies de mises à jour logicielles.

En pratique, l’industrie de l’automobile rêve de suivre les traces étincelantes de l’univers des services d’Apple. Mais entre aspirations de gigantomachie financière et réalités techniques, il y a un petit monde. N’empêche, les acteurs du secteur se léchent déjà les babines à l’idée de vous vendre des abonnements pour tout et n’importe quoi, des sièges chauffants à la gestion de flottes de véhicules pour les pros.

Peut-on déjà s’écrier, « Shut up and take my money! » en s’offrant un VDL? Pas si vite, cowboy numérique! En vérité, le marché est encore dans les limbes d’une définition claire et partagée, et la cohorte de systèmes d’exploitation automobiles (au nombre de 15, rien que ça) promet une belle pagaille pour ceux qui rêvent de déployer l’App Store de la route.

En somme, oui, le mythe du VDL est palpable, mais il reste encore pas mal de boulot avant que l’on puisse clamer à la face du rétroviseur : « Cette voiture n’est pas celle de mon père. » On attend tous de voir si l’innovation sera au rendez-vous ou si elle prendra la sortie d’urgence, à la recherche du signal Wi-Fi perdu. En attendant, attachons notre ceinture et gardons un œil sur le rétro… logiciel.

« Quand les quatre roues réinventent le clic: l’odyssée des véhicules (presque) définis par logiciel »

Source : Techcrunch

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