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Credits image : KEDAR DUTT / Unsplash

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L’échec retentissant de Peregrine : un signe avant-coureur pour la conquête spatiale?

Comment une mission lunaire, si prometteuse au départ, peut-elle finalement se terminer dans un fiasco retentissant? L’atterrisseur lunaire Peregrine d’Astrobotic, censé fouler le sol lunaire, va s’écraser sur Terre. Mais quelles sont les raisons de cet échec et quelles leçons peut-on en tirer?

Attendue aux alentours de 16 heures (EST) demain, la rentrée atmosphérique de Peregrine s’effectuera-t-elle sans accroc au-dessus d’une zone désertique de l’océan Pacifique Sud, près des Fidji? La firme Astrobotic, en collaboration avec la NASA, a-t-elle su assurer une trajectoire de retour sécurisée et prédictible pour son appareil condamné?

Depuis le lancement par United Launch Alliance de la Vulcan Centaur le 8 janvier, Astrobotic a maintenu le public informé des avancées de Peregrine. Pourtant, quelles complications sont apparues quelques heures seulement après que l’engin a été mis en orbite? Comment un simple lancement réussi a-t-il pu prendre une tournure aussi dramatique?

La mission lunaire Peregrine d’Astrobotic se conclut par une rentrée atmosphérique inattendue et précipitée.

Peut-on envisager qu’une fuite de propulseur puisse entamer la résistance d’un atterrisseur lunaire, au point de rendre impossible son alignement solaire? Et si le diagnostic de la société suggère une fuite critique de propulseur dans le système de propulsion, dûe à une valve défectueuse, quelles étaient alors les chances réelles de Peregrine d’effectuer un atterrissage en douceur sur la Lune?

Face à l’imminence d’une fin abrupte, comment Astrobotic a-t-elle pu néanmoins prolonger la mission au-delà de toute attente, en maintenant Peregrine en opération plus de dix jours dans l’espace? Quelle ingéniosité a permis de concevoir un processus en deux étapes pour manœuvrer l’appareil vers un trajet de rentrée atmosphérique contrôlé?

Après 23 petites impulsions des principaux moteurs, quelle était l’efficacité de l’ajustement de « l’attitude » du vaisseau pour compenser la fuite de carburant? Astrobotic peut-elle être créditée d’une gestion de crise efficiente pour minimiser les risques de débris atterrissant sur les terres habitées?

Malgré l’insuccès de sa mission principale, quels fruits Astrobotic a-t-elle pu récolter en termes de données, particulièrement de celles issues des charges utiles scientifiques à bord? En quoi ces données pourraient-elles contribuer à l’avancement de la recherche spatiale, malgré la perte de l’atterrisseur?

Source : Techcrunch

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