« L’argent, c’est comme les éléphants, ça trompe énormément. » – Voici une mise à jour d’Apple qui pourrait bien redéfinir la manière dont nous gérons nos finances personnelles, sans tromperie aucune !
La grosse nouveauté de la mise à jour iOS 17.4 d’Apple, c’est son adaptation réglementaire au fameux Acte du Marché Numérique de l’UE. Mais attention, là n’est pas la seule pépite ! Apple introduit également une nouvelle API du doux nom de FinanceKit, permettant aux développeurs de piger dans vos transactions et soldes d’Apple Card, Apple Cash et épargne chez Apple comme dans un sac de bonbons.
« Les finances, c’est maintenant aussi simple que de dire pomme avec Apple ! »
Pour l’occasion, YNAB, Monarch et Copilot forment le trio de tête des partenaires. Copilot, tel un chevalier sur son X blanc, annonce fièrement que vous pourrez avoir un œil sur vos finances Apple en temps réel. Finies les époques barbares où il fallait charger ses documents à la main pour consulter ses transactions.
Todd Curtis, de YNAB, affirme avec enthousiasme être ravi d’être dans les premiers de la classe à proposer cette fonctionnalité. YNAB, depuis 2004, se donne comme mission de réinventer notre relation à l’argent, et cette intégration semble être le dernier gadget magique à leur trousseau pour les détenteurs de l’Apple Card.
Au fil des années, Apple a étoffé son éventail de produits financiers avec la même ardeur qu’un écureuil préparant l’hiver. Lancer l’Apple Card en 2019, check. Annoncer que les utilisateurs de cette même carte ont récolté 1 milliard en récompenses quotidiennes en 2023, double check. Partenariat avec Goldman Sachs pour une offre épargne à 4.15% APY en avril 2023, triple check. Et pour finir, une petite danse de la victoire en août 2023 avec plus de 10 milliards engouffrés dans le compte épargne, quadruple check.
Alors oui, avec la mise à jour iOS 17.4 et FinanceKit, gérer vos finances pourrait bien devenir aussi intuitif que de glisser des doigts sur un écran de verre. Mais n’oubliez pas, même si c’est Apple qui orchestre la mélodie, à la fin, c’est toujours le banquier qui danse.
Source : Techcrunch