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Remofirst : La Flèche de David dans le Monde des Goliaths HR Tech

« Dans l’univers des startups de la HR tech, chaque centime épargné est un pas de géant vers la conquête spatiale du travail à distance. » Voilà une épopée moderne où Remofirst, en digne David, se fraye un chemin auprès des Goliaths tels que Deel et Rippling, armé de 25 millions de dollars fraîchement acquis lors d’une levée de fonds en série A.

Entendez-vous le cliquetis des armures? C’est Remofirst qui, sans créer d’entité locale, engage employés et sous-traitants dans plus de 180 pays pour le compte de ses clients. Imaginez l’économie de temps et d’argent, sans parler du casse-tête en moins pour être en règle avec les lois locales, selon Nurasyl Serik, leur CEO et co-fondateur.

Tel un chevalier des temps modernes, Remofirst gère tout, du salaire au matériel de travail, en passant par les assurances santé, dentaire et visuelle, tout cela en portant la noble tunique de l’employeur pour le compte de diverses entreprises. Qui a dit que la chevalerie était morte?

« Augmentant son revenu récurrent annuel par 10 depuis sa dernière levée de fonds, Remofirst avance à pas de géant dans l’arène des startups HR tech. »

Cette croissance impressionnante a attiré l’œil (et le porte-monnaie) de trois investisseurs en seulement quatre semaines, permettant à Remofirst d’enchérir 25 millions de dollars à son trésor de guerre. Chapeauté par Octopus Ventures, ce tour de table a vu la participation des soutiens de la première heure – QED, Mouro Capital et Counterpart Ventures.

En revanche, la startup garde le silence sur sa valorisation, néanmoins assurant que ce fut un « up round » robuste. Et même si leur besace paraît moins remplie que celles de Deel ou de Rippling, Remofirst ne perd pas le nord, affirmant que son offre, aussi vaste que le territoire d’Avalon, est bien plus abordable.

Baisser la herse sur le coût, voilà leur stratégie. Après tout, qui souhaite vider son coffre-fort pour une solution HR tech ? Remofirst propose des services dès 199 dollars par mois pour un employé, un trésor trouvé comparé aux dragons du domaine.

Et quelle est donc cette potion magique leur permettant de proposer des tarifs si compétitifs, vous demandez-vous? Volodymyr Fedoriv, le COO et co-fondateur, lâche le morceau – c’est dans les arcanes de leur backend que réside le secret, évitant ainsi les dépenses colossales et les tracasseries liées à la création d’entités locales.

Visant principalement les petites et moyennes entreprises qui sont souvent laissées pour compte par les magiciens de la tech, Remofirst compte déjà parmi ses fidèles des noms comme Zocdoc, l’Organisation Mondiale de la Santé et Mastercard. Avec un tel cercle d’alliés, le royaume de Remofirst ne cesse de s’étendre.

Nick Sando, le principal d’Octopus Ventures, y voit une quête noble, Remofirst offrant un niveau de service de haut rang pour un prix d’amis, autrement dit, un Graal pour les entreprises éprunt de solution HR tech efficace et abordable.

L’aventure continue pour Remofirst qui, gonflé par son récent pactole, projette d’élargir son empire bien au-delà de ses frontières actuelles, avec un œil conquérant posé sur le Royaume-Uni.

Source : Techcrunch

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