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Credits image : Michael Fousert / Unsplash

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Quand Fisker joue à « pause-café », l’industrie VE retient son électroscope

« L’argent, c’est comme l’électricité : utile, puissant, mais sacrément volatile ! » – Anonyme à propos des startups de véhicules électriques.

La nouvelle fait grand bruit depuis que Fisker a admis ne pas avoir assez de trésorerie pour tenir l’année. La réponse de l’entreprise ? « Pas de panique, on met tout sur pause pendant six semaines ». Ah, si seulement c’était aussi simple pour nous autres mortels.

Vous pensiez que créer la voiture électrique de demain était une promenade de santé ? Avec Fisker, on comprend que même avec un produit excitant sous le capot, les roues peuvent commencer à trembloter. Atteindre le match parfait entre le produit et le marché, c’est un peu comme essayer de séduire en utilisant uniquement des jeux de mots sur les voitures électriques : ça n’intéresse pas grand monde.

« Aller de l’avant, c’est bien, mais encore faut-il avoir assez de ‘jus’ pour éviter le court-circuit. »

Être optimiste sur l’avenir des voitures électriques, c’est une chose. Mais pour Fisker, il semblerait que le prochain virage soit plus serré que prévu. Mettons les mains dans le cambouis et voyons ce qui bloque, en espérant que le moteur redémarre.

La décision de Fisker de mettre sa production en veille peut sembler une tactique de survie, mais n’est-ce pas un peu comme appuyer sur pause lorsqu’on est déjà en chute libre ? Peut-être qu’un petit miracle technologique, un tour de magie financier, ou, soyons fous, une batterie révolutionnaire suffira à remettre cette entreprise sur les rails. Qui sait ? Dans le monde de l’innovation, il suffit parfois d’un rien pour passer de zéro à héros.

Les startups dans l’arène électrique, c’est un peu comme les gladiateurs romains : tout le monde veut les voir triompher, mais on sait bien que la plupart finissent par mordre la poussière. Fisker, dans cette lutte pour la survie, nous rappelle qu’avoir une idée brillante n’est que le début de l’aventure. Il faut aussi un plan solide, une exécution impeccable, et… beaucoup, mais alors beaucoup d’argent.

En fin de compte, les problèmes de Fisker soulèvent une question cruciale : avoir une vision, c’est bien, mais si l’on manque de « courant », comment assurer que nos rêves électriques ne finissent pas par s’éteindre ? Pour Fisker, l’heure est venue de recharger les batteries, en espérant que cette pause ne soit pas le signal d’un arrêt définitif. Mais ne désespérons pas, après tout, chaque nuage chargé de pluie n’est-il pas suivi d’un arc-en-ciel ?

Source : Techcrunch

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