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Credits image : Sergey Zolkin / Unsplash

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La technologie peut-elle vraiment mettre fin au piratage en ligne?

Comment une expérience personnelle déchirante a-t-elle pu transformer une victime en innovateur technologique? C’est l’histoire de Dan Purcell et de sa start-up, Ceartas, qui se lance dans la bataille contre le piratage de contenu et les violations de la vie privée en ligne. Mais comment Ceartas se distingue-t-elle des autres solutions existantes?

Dan Purcell, après avoir découvert que des vidéos intimes prises avec une ex-partenaires avaient été publiées à son insu sur un site pornographique, a décidé de prendre les choses en main. Sa solution? Ceartas, une startup servant à protéger les créateurs de contenu contre le piratage, utilisant une technologie d’intelligence artificielle pour envoyer des avis légaux et de désindexer le contenu piraté. Mais cela suffit-il?

Le système utilise sa propre plateforme d’IA pour scanner les plateformes numériques à la recherche de contenu non autorisé, y compris les deepfakes, promettant de réduire la visibilité du contenu problématique sur Google de 98%. Mais qu’est-ce qui rend Ceartas différent?

Ceartas se présente comme une révolution dans la protection contre le piratage, mais est-ce suffisant pour combattre efficacement les deepfakes et le contenu piraté?

Implantée à Dublin et à Berlin, Ceartas prévoit de s’étendre à Los Angeles et a déjà noué des partenariats avec des plateformes comme OnlyFans et Fanfix. Mais quelle est la stratégie derrière ces choix d’implantation et de partenariat?

Dan Purcell partage son histoire personnelle, soulignant le manque de ressources disponibles pour les individus souhaitant lutter contre la diffusion non consentie de contenu intime. Ceartas est né de ce besoin non satisfait, proposant une solution initialement destinée aux créateurs de contenu avant d’envisager une expansion vers le secteur des biens physiques. N’y avait-il vraiment aucune autre option?

La start-up est fière de son processus entièrement automatisé, basé sur l’IA, et revendique un taux de succès supérieur aux méthodes traditionnelles, selon les rapports de transparence de Google. Mais peut-on vraiment se fier à l’automatisation pour aborder des questions aussi délicates que le droit d’auteur et la protection de la vie privée?

Ceartas n’est pas seule dans cette arène, en compétition avec d’autres entreprises dans l’espace de la protection de marque, chacune avec ses propres stratégies et résultats. Ceartas, grâce à sa méthode basée sur l’IA, semble toutefois se démarquer. Est-ce le début d’une nouvelle ère dans la lutte contre le piratage et les violations de contenu?

Alors, avec une levée de fonds réussie et une mission claire, Ceartas semble être sur la bonne voie pour transformer la façon dont les créateurs de contenu se protègent contre le piratage. Mais, au fond, ce combat contre le piratage et les violations en ligne peut-il vraiment être gagné avec la technologie seule?

Source : Techcrunch

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