« Dans le monde des réseaux sociaux, être petit ne signifie pas être invisible. Surtout quand Instagram décide de jouer à la fée marraine. »
On connaît tous Instagram, cette plate-forme où chaque chat, chaque assiette de nourriture et chaque coucher de soleil se doit d’être immortalisé. Mais derrière cette vitrine de perfection, se cache une réalité bien moins scintillante pour ces petites âmes créatives qui tentent de percer. Vous savez, celles qui se battent pour chaque like comme Gollum pour son précieux. Eh bien, bonne nouvelle, Instagram a décidé de renverser la vapeur.
« Petits mais musclés, les créateurs indépendants pourront désormais rivaliser avec les gros poissons d’Instagram. »
Après des mois de doléances, de pleurs dans les coussins et de posts désespérés, les créateurs ont finalement été entendus. La plateforme s’emballe pour redistribuer les cartes du jeu. Fini l’ère où seuls les rois et reines de followers régnaient sur la terre promise d’Instagram. Place désormais à une démocratie créative où le petit peuple aura sa chance.
La nouvelle sauce secrète ? Un algorithme remanié avec amour et une pincée de magie numérique pour propulser les contenus originaux des créateurs moins suivis. On dit adieu aux reposts et bonjour aux étiquettes identifiant clairement les contenus réchauffés. Désormais, si votre œuvre est copiée, c’est votre nom qui brillera sous les projecteurs.
Et attention, si vous êtes de ceux qui adorent collectionner les mèmes comme des Pokémon sans jamais en créer, Instagram pourrait bien vous retirer de son Pokédex recommandé. La plateforme lance un grand ménage de printemps, et il semblerait que les comptes agrégateurs de contenus soient les premiers à passer à la trappe.
Alors, tous à vos smartphones, car c’est le moment de laisser libre cours à votre créativité. Qui sait, demain, le nouvel influencer à la mode, ce pourrait être vous ! Et si certaines grandes figures d’Instagram commencent à trembler sur leur trône, rappelons-leur que dans le royaume des créateurs, le roi n’est jamais celui que l’on croit.
Source : Techcrunch
