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Credits image : Petter Lagson / Unsplash

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Les sanctions contre Kaspersky sont-elles justifiées ou excessives?

Pourquoi le gouvernement américain a-t-il choisi de sanctionner les leaders de Kaspersky ?

Le gouvernement des États-Unis a récemment annoncé des sanctions contre 12 cadres dirigeants de la société de cybersécurité basée en Russie, Kaspersky. Cette initiative soulève de nombreuses questions. Étaient-ils effectivement impliqués dans des menaces cybernétiques malveillantes ?

Dans un communiqué de presse, l’Office of Foreign Assets Control (OFAC) du Département du Trésor américain a déclaré avoir désigné ces 12 dirigeants pour protéger les utilisateurs d’internet contre les cybermenaces malveillantes. Mais qu’ont déclaré officiellement ces responsables pour justifier de telles mesures drastiques ?

Les sanctions visent à préserver l’intégrité du domaine cyber.

Le communiqué cite Brian E. Nelson, secrétaire adjoint au Trésor pour le Terrorisme et le Renseignement financier, affirmant que cette action souligne l’engagement des États-Unis à assurer l’intégrité du domaine cyber. Cette action est-elle suffisante pour dissuader d’autres entreprises de s’engager dans des activités similaires ?

Parmi les personnes sanctionnées figurent plusieurs membres du conseil d’administration de Kaspersky comme Andrei Efremov, directeur du développement commercial, et Igor Chekunov, responsable juridique de l’entreprise. D’autres noms notables incluent Marina Alekseev, responsable RH, et Denis Zenkin, responsable de la communication. Mais où est Eugene Kaspersky, le fondateur de la société, dans cette liste ? Pourquoi n’a-t-il pas été inclus dans les sanctions ?

Les sanctions rendent plus difficile pour ces dirigeants de créer une nouvelle entreprise et empêchent effectivement les clients américains de payer Kaspersky. Cela suffira-t-il pour réduire l’influence de Kaspersky ?

Les sanctions font suite à une interdiction sans précédent des ventes de logiciels Kaspersky aux États-Unis, effective à partir du 20 juillet. Cependant, les mises à jour de logiciels seront toujours possibles jusqu’au 29 septembre. Que se passera-t-il si des entreprises américaines continuent d’utiliser ces logiciels obsolètes ?

Depuis 2017, les États-Unis se méfient de Kaspersky. L’administration Trump avait banni l’utilisation de ses logiciels dans les agences gouvernementales à la suite de soupçons d’influence russe. Cette méfiance est-elle basée sur des preuves concrètes ou s’agit-il simplement de précaution ?

Source : Techcrunch

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