« Il vaut mieux être en retard dans le monde de l’IA qu’arriver trop tôt dans un buggy ! » – Anon.
Chers lecteurs, plongez avec moi dans l’univers captivant d’Anika Collier Navaroli, une figure influente du monde de l’IA et fervente défenseuse des droits numériques. À mi-chemin entre journalisme et politique technologique, Navaroli a eu une ascension digne d’un film hollywoodien, mais sans les explosions… quoique les témoignages au Congrès pourraient en être proches!
Faire bouger les algorithmes pour une meilleure société.
Imaginez-vous dans une salle de rédaction poussiéreuse, quand tout à coup, les journaux deviennent numériques. C’est ainsi que Navaroli a pris son envol. Fascinée par l’évolution des technologies, elle a fait son chemin à travers l’école de droit, des mouvements sociaux tels que le Printemps arabe, et a même écrit une thèse de maîtrise sur la manière dont la technologie modifie la liberté d’expression. Ah, si seulement on pouvait digitaliser nos révisions nocturnes aussi facilement !
Mais attendez, ce n’est pas tout ! Après quelques aventures dans des cabinets d’avocats, elle a rejoint la Data & Society Research Institute, plongeant tête bêche dans le « big data » et la reconnaissance faciale. Spoiler alerte : elle a découvert que les algorithmes peuvent être aussi biaisés que nos tantes lors des repas de famille. Depuis, Navaroli a fait des vagues chez Twitter et Twitch, en s’assurant que tout le monde, y compris les voix marginalisées, obtienne l’attention qu’ils méritent.
Parmi ses exploits, mentionnons ses campagnes audacieuses pour vérifier les comptes de personnalités telles que Safiya Noble et Timnit Gebru. Parce qu’après tout, être vérifié, c’est être entendu, non? Ce simple geste a permis d’intégrer des perspectives diversifiées dans l’algorithme de Twitter, faisant de ce monde un endroit légèrement moins chaotique.
Mais elle ne s’arrête pas là, oh non! Elle a aussi conduit une recherche révolutionnaire intitulée « Black in Moderation », offrant une tribune aux travailleurs noirs de la tech. Imaginez ça : une étude qui s’est traduite en moult conversations essentielles sur les défis des employés marginalisés. Une révolution douce, mais puissante.
Alors, comment réussir dans une industrie dominée par la gent masculine, me demandez-vous? Pour Navaroli, c’est une question de définir des limites claires et de ne pas se laisser réduire à une seule facette de son identité. Et franchement, ce conseil vaut pour tout le monde, que vous soyez dans la tech ou non. Prochaine étape : lutter contre les dangers d’une IA alimentée par des données synthétiques. Oui, vous avez bien entendu, même les IA peuvent finir par tourner en rond sans nos données humaines!
En conclusion, Navaroli plaide pour une régulation externe et une formation solide, ancrée dans le journalisme, pour les futurs gardiens de l’IA. En bref, elle croit que bien former les futurs défenseurs de la sécurité technologique pourrait éviter que l’IA ne devienne le prochain méchant de science-fiction. Parce qu’avouons-le, personne ne veut vivre dans une dystopie numérique.
Rendez-vous la prochaine fois pour une autre aventure technologique. En attendant, souvenez-vous : « Quand la vie vous donne des données, faites-en une algorithmique! »
Source : Techcrunch