« Cherchez la femme? Non, cherchez l’IA! » Voilà une maxime revisitée qui pourrait bien définir l’aventure de Hebbia, cette startup innovante qui explore le monde des documents avec une intelligence artificielle surdouée.
Hebbia, c’est un peu le Sherlock Holmes des temps modernes, mais au lieu d’une loupe, il lui suffit d’un algorithme. Avec une levée de fonds de 130 millions de dollars en série B, la startup atteint une valorisation mirobolante de 700 millions de dollars. Andreessen Horowitz, Index Ventures, Google Ventures et même Peter Thiel ont investi. Quand on vous dit que l’IA fait tourner les têtes (et les portefeuilles) !
Pour les curieux qui se demandent « mais pourquoi tant d’argent? », c’est simple : Hebbia a atteint une REC (ou ARR en anglais) de 13 millions de dollars, et se distingue par une rentabilité déjà affirmée. D’ailleurs, en 18 mois, ses revenus ont grimpé de 15 fois! C’est ce qu’on appelle un saut quantique.
L’IA de Hebbia, c’est un peu comme un super assistant personnel, mais en beaucoup plus cool.
L’ambition de Hebbia ne s’arrête pas là. Fondée par George Sivulka, un ex-PhD en génie électrique de Stanford, la startup propose Matrix, un produit qui analyse et organise des documents longs comme le bras. Imaginez une table Excel boostée aux stéroïdes : clique, lis, répond et tout cela en un clin d’œil ! Utile pour scruter les dépôts de la SEC ou éplucher des tonnes de rapports financiers.
Mais ne croyez pas que Hebbia joue dans un bac à sable limité. La startup cible les gestionnaires d’actifs, les banques d’investissement, mais aussi les cabinets d’avocats et les entreprises pharma. Vous l’avez deviné, on parle ici de gros sous et de big data.
La technologie de Hebbia est déjà adoptée par 30% des gestionnaires d’actifs pour des tâches comme la due diligence et la tarification des actifs. Le financement frais sera consacré à l’expansion de l’équipe et l’élargissement des services à d’autres secteurs.
L’esprit brillant derrière tout ceci, George Sivulka, n’est pas un entrepreneur comme les autres. Dès son adolescence, il frayait déjà avec les étoiles chez la NASA, et a terminé sa licence en mathématiques à Stanford en 2,5 ans. Le gars a de la ressource, c’est le moins qu’on puisse dire!
En conclusion, avec Hebbia, la recherche documentaire ne sera plus jamais ennuyeuse. Voilà une startup qui ne se contente pas de suivre l’alphabet, elle le réinvente!
Quand l’IA prend les fichiers par les cornes
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Source : Techcrunch