Un sage a dit un jour: « La vie, c’est comme un jeu vidéo, parfois tu gagnes, parfois tu manges des pixels. » Eh bien, chers lecteurs, aujourd’hui, nous plongeons dans un jeu qui va vous faire transpirer plus qu’une partie de Tetris lors d’une panne de courant.
Dans Laser Sphere, conçu par Shaun Inman, c’est vous et votre laser spatial qui surchauffe, face à des hordes d’ennemis qui n’ont clairement pas lu le manuel des bonnes manières. Vous devez défendre la Sphère, le dernier bastion d’une civilisation à l’agonie, contre des vagues incessantes d’attaquants qui se multiplient comme des gremlins sous la pluie.
Armé de votre laser contrôlé par manivelle et du bouton ‘A’ pour tirer, vous devrez jongler entre tirs continus et rafales prudentes pour éviter la surchauffe et rester en vie. Une brève attaque peut vous sauver la peau, mais utiliser un tir prolongé vous rendra vulnérable pendant que le laser refroidit. Comme dit le dicton, « tirer en continu, refroidir à point. »
Survivre dans Laser Sphere, c’est un ballet d’énergie intense, où chaque rafale compte et chaque choix peut mener à une surchauffe fatale.
Mais tout n’est pas sombre dans cette galaxie. En détruisant les ennemis, vous récupérez des matériaux utiles pour améliorer votre équipement et réparer votre vaisseau à la fin de chaque niveau. Vous pouvez réduire le temps de refroidissement de votre laser ou renforcer votre bouclier, un peu comme réparer une vieille voiture avec des pièces jetées par les fenêtres.
Grâce à ces éléments d’amélioration, chaque partie devient un défi captivant. Vous devez jongler avec les diverses tailles et vitesses des ennemis, choisir judicieusement vos cibles et ne jamais relâcher votre garde. Le tout est accompagné par une bande-son prometteuse de Mike Freuden qui vous garde dans l’ambiance de l’action incessante. Le jeu est disponible sur le Catalogue Playdate pour seulement 6 $, une véritable aubaine galactique.
Alors, prêt à affronter des hordes d’ennemis tout en évitant la surchauffe? Il semblerait que la mission pour sauver la dernière lumière de l’univers ait besoin de votre doigté. N’oubliez pas, dans l’espace, personne ne vous entendra crier… sauf peut-être votre poignet qui tourne la manivelle!
Source : Engadget