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Credits image : Muha Ajjan / Unsplash

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Halliburton : When Hack Meets Frack

« Dans le monde digital, tout peut être piraté… même vos vacances en ligne. » Voilà une maxime qui prend tout son sens aujourd’hui avec Halliburton, géant du forage et de la fracturation, qui fait face à une cyberattaque non désirée.

Cette semaine, Halliburton a décidé de mettre certains de ses systèmes hors ligne après avoir découvert une « accès non autorisé ». Imaginez le scénario: une grande entreprise se réveille un matin et réalise que ses systèmes ont été visités par des intrus. Panique dans les bureaux, et tout le monde court pour débrancher les câbles!

Halliburton, qui emploie près de 48 000 personnes à travers le monde, est surtout connue pour sa malheureuse implication dans l’explosion de la plateforme pétrolière Deepwater Horizon en 2010. Cette fois, il ne s’agit pas d’une fuite de pétrole, mais d’une intrusion silencieuse dans le cyberespace. On dit souvent que « le pétrole c’est de l’or noir », mais il semble que leurs données numériques soient tout autant précieuses!

« Lorsque Halliburton est touché, tout le monde retient son souffle. »

Selon Reuters, l’attaque a été signalée le mercredi. Le Département de l’Énergie des États-Unis s’est voulu rassurant, annonçant qu’aucun service énergétique n’a été impacté. « Ouf! », diront certains, alors que d’autres continueront à se demander ce qui se passe derrière les rideaux fermés de Halliburton.

Victoria Ingalls, porte-parole de Halliburton, est restée très discrète sur les détails de l’incident de sécurité. Pas un mot sur la nature de l’attaque ou sur des éventuelles communications des cyberpirates. On sait juste que « les prochaines communications seront sous forme d’un 8-K, » un document officiel dédié au public. Translation? Rien ne filtrera avant d’être bien emballé et signé.

Un petit scoop TechCrunch pour en pimenter le tout : un potentiel problème de sécurité sur le système de connexion unique de Halliburton a été découvert. Et devinez quoi? Ingalls, fidèle à elle-même, a préféré esquiver les questions à ce sujet, répétant la déclaration standard de la firme. Donc, on suppose que c’est toujours « business as usual » chez Halliburton, même après une cyberattaque.

Quelques chiffres pour ajouter du poids : Halliburton a généré 23 milliards de dollars de revenu en 2023, une belle augmentation de 13% par rapport à l’année précédente. Et avec un total de 19 millions de dollars de compensation pour son PDG Jeff Miller, on peut se demander si chaque cyberattaque mérite une petite prime?

Comme dirait un pirate informatique, « C’est un monde de bugs et de câbles tranchants là-bas! »

Source : Techcrunch

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