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Credits image : Joshua Mayo / Unsplash

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Saga boursière : A qui Carta le mieux !

« La technologie ne résout pas les problèmes humains, mais elle est incroyablement douée pour les exacerber! » a déclaré quelqu’un de très sage (ou peut-être était-ce juste un assistant vocal en manque d’attention).

Le monde turbulent des startups boursières nous a encore offert un rebondissement digne d’un soap-opéra technologique. Public, l’enfant prodige du trading de stocks, vient de mettre la main sur les comptes de courtage de la division de marché secondaire de Carta, rien de moins! Oui, mesdames et messieurs, l’acquisition a été confirmée par les fins limiers de TechCrunch.

Carta, ce géant de la gestion de tableaux de capitalisation, a essayé de tremper un orteil dans le marché brûlant des transactions secondaires. Mais que se passe-t-il quand on joue avec le feu? Eh bien, Carta a été accusée publiquement par un client de startup d’avoir utilisé des données privées pour courtiser des actionnaires dans le dos de la startup concernée. Hum, ça sentait le roussi et cela a fait paniquer plusieurs clients de Carta, prêts à plier bagage.

Quand la tempête se déchaîne, il vaut mieux passer la main à d’autres marins.

En conséquence, Carta a annoncé qu’elle abandonnait ce business épineux. Mais pas de panique, Public a sauté sur cette occasion comme un chat sur un pointeur laser, récupérant ces comptes tant convoités, selon un rapport d’Axios.

Public a même déclaré dans un email adressé à TechCrunch que les clients de Carta Capital Markets qu’elle a acquis ont le droit de refuser l’intégration. Ah, la délicatesse dans le monde des affaires! Cependant, Carta ne met pas une croix définitive sur les transactions secondaires; elle continuera d’offrir des services comme les offres de rachat via son agent de transfert enregistré auprès de la SEC.

C’est comme dans une série TV : on croit que l’histoire est finie, mais non, il y a toujours un rebondissement imprévu! Mais bon, dans ce bal technologique, méfiez-vous des valses à deux temps – on ne sait jamais quel pied on va écraser. Après tout, « Le marché secondaire » pourrait bien finir par être rebaptisé « Le marché à risques ».

Source : Techcrunch

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