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Credits image : Google DeepMind / Unsplash

Technologie
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IA-enellant l’art, appuyons sur ‘humain’

Vous avez peut-être entendu ce dicton : « Les intelligences artificielles écrivent, mais les écrivains réels inspirent. » Eh bien, Ted Chiang pense un peu pareil.

Pour ceux qui ne connaissent pas Ted Chiang, c’est l’un des auteurs de science-fiction les plus respectés d’aujourd’hui, surtout célèbre pour sa novella « L’Histoire de ta vie » qui a inspiré le film « Premier Contact ». Mais il a aussi rédigé des articles géniaux pour The New Yorker, décortiquant les dangers et les limites de l’IA. Spoiler: il n’est pas super fan de l’idée que les IA deviendront des artistes.

Si vous êtes un fondu de lecture, vous devriez lire son dernier article en entier. Sinon, voici un petit résumé croustillant : Chiang soutient que le potentiel des modèles de langage comme ChatGPT reste « largement théorique ». Jusqu’à présent, l’IA générative a surtout réussi à baisser nos attentes, que ce soit pour ce que l’on lit ou pour ce que l’on écrit. En gros, selon lui, cette technologie nous déshumanise parce qu’elle nous considère comme moins que ce que nous sommes : des créateurs et des compreneurs de sens.

L’IA, c’est sympa pour les tâches répétitives, mais pour toucher l’âme, il faut une vraie touche humaine !

Chiang note qu’à mesure que les LLMs (modèles de langage large) s’améliorent, leur production ne sera jamais de l’art. Pourquoi ? Parce que pour lui, l’art résulte d’un tas de choix. Peut-être que ces choix ne conduiront pas à un roman ou un tableau extraordinaire, mais ils sont tout de même un acte de communication entre vous et votre public.

Il conclut ainsi : « Nous sommes tous produits de ce qui nous a précédés, mais c’est en vivant nos vies en interaction avec les autres que nous apportons du sens au monde. » Autrement dit, un algorithme d’auto-complétion ne pourra jamais accomplir cela. Et que personne ne vous dise le contraire!

En résumé, l’IA peut être un super assistant, mais pour créer de l’Art avec un grand A, il vaut mieux avoir un cœur humain derrière le clavier. Après tout, même le meilleur robot ne pourra jamais peindre une Mona Lisa sans son petit sourire énigmatique. Finissons sur une note légère : L’IA pourra peut-être déchiffrer le Da Vinci Code, mais pour faire Mona Lisa sourire, laissez ça aux humains!

Source : Techcrunch

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