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Credits image : Barbara Zandoval / Unsplash

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IA : Traité mais pas trahi!

« L’intelligence artificielle est comme un couteau à beurre, vous pouvez tartiner une baguette ou couper un doigt. Gare à vos doigts! »

L’Europe et ses copains internationaux ont décidé de rejoindre le jeu de la régulation de l’IA en signant un traité. Mais attention, il ne s’agit pas de n’importe quel traité! Le Conseil de l’Europe (COE) a orchestré ce coup de maître avec la Convention-cadre sur l’intelligence artificielle, les droits de l’homme, la démocratie et l’État de droit. En somme, cette joyeuse assemblée veut s’assurer que l’IA ne fasse pas trop de bêtises et reste dans les clous des droits et libertés fondamentales.

Les gros poissons comme les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Union européenne ont mouillé la chemise pour participer à cette signature historique à Vilnius, en Lituanie. Parmi les autres participants, on retrouve des pays plus petits mais tout aussi déterminés tels que l’Andorre et la Moldavie. Toutefois, certains absents de marque comme les pays asiatiques et la Russie font noter leur absence.

Les pays signataires devront ensuite ratifier le traité, un petit marathon bureaucratique en vue!

Le COE a mis en avant trois points cruciaux pour leur traité : droits de l’homme (protéger contre les abus de données et garantir la vie privée), démocratie et État de droit. En gros, ça revient à dire : « Pas de bêtises avec nos données, s’il vous plaît! »

Ce cadre juridique, aussi ambitieux que les domaines qu’il aborde, vise à gouverner tout le cycle de vie des systèmes d’IA. Oui, vous avez bien lu! De la conception à la désinstallation, tout devra respecter ce sacré traité. Objectif? Promouvoir l’innovation tout en veillant à ce que l’IA ne fasse pas n’importe quoi. Innovant mais pas trop provocant, en somme.

Le COE n’est pas une nouvelle venue dans le domaine des traités. Créée après la Seconde Guerre mondiale, cette organisation a déjà pavé la voie pour une ribambelle de lois et de droits, incluant la Cour européenne des droits de l’homme.

La régulation de l’IA devient ainsi un véritable casse-tête pour les différents régulateurs. Pour éviter de refaire les mêmes erreurs que par le passé, ils avancent avec précaution. Et n’allez pas croire que les entreprises d’IA restent les bras croisés! Elles sont sur le front, clamant haut et fort qu’elles aussi veulent des réglementations. Cynisme ou vrai souci de transparence? L’avenir nous dira.

Et bien sûr, nos chers politiciens n’ont pas manqué l’invitation. Certains soutiennent les régulateurs, d’autres préfèrent jouer la carte pro-business, pensant stimuler l’économie. Ce mélange d’intérêt produit un véritable patchwork de régulations, de sommets et de résolutions. En fin de compte, tout ce beau monde espère aligner leurs efforts à travers ce traité du COE.

Les signataires de jeudi devront encore passer à l’étape de ratification, une saga bureaucratique en perspective avant que les nouvelles règles n’entrent en vigueur.

Alors, avant d’activer votre prochain assistant vocal super-intelligent, rappelez-vous que même les IA ont des lois à respecter maintenant. Et comme on dit dans le milieu : « Ne laissez pas l’IA tourner en liberté, elle pourrait faire des nœuds dans vos câbles! »

Source : Techcrunch

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