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Mercure, c’est Bepi que jamais

« Ça plane pour moi… et pour BepiColombo ! » 🎶 Tel pourrait être l’hymne de notre aventurier robotique qui arpente les confins du système solaire.

Ce mois-ci, BepiColombo nous a envoyé des clichés de rêve de la planète Mercure, prise de si près que l’on pourrait presque y voir notre reflet. Le 4 septembre, notre intrépide sonde est passée à seulement 100 miles de la surface, capturant des images époustouflantes de ses pôles.

Mercure, souvent laissée de côté pour ses sœurs plus populaires comme Mars ou Saturne, a enfin droit à son moment de gloire grâce à une collaboration européenne et japonaise. Le projet BepiColombo, dirigé par l’ESA et JAXA, compte sur une série de six survols pour étudier cette planète incandescente avant d’entrer en orbite en 2026. Récemment, la quatrième rencontre rapprochée de la mission a été le théâtre de sensations fortes.

Quand l’espace joue les rétrogardes, la science avance !

Un petit incident technique avait fait des siennes en avril, réduisant de 10 % la capacité des propulseurs de BepiColombo. Mais qu’à cela ne tienne ! Les ingénieurs ont recalculé la trajectoire pour passer encore plus près de Mercure, même si cela a repoussé l’orbite scientifique à novembre 2026.

Passant du côté ombragé de Mercure, la sonde a vu les cratères se révéler, brillants comme des joyaux dans l’obscurité. C’est un ballet cosmique pour une navigation spatiale millimétrée : le moindre faux pas pourrait transformer Bepi en simple touriste de l’espace, oubliant de s’arrêter sur la planète.

BepiColombo s’efforce de percer les mystères des bassins d’anneaux de pics de Mercure, tels que le cratère Vivaldi, où la lave volcanique a remplacé impulsivement le paysage. Le Professeur David Rothery de l’Open University explique : « Ces anneaux de pics pourraient résulter d’un rebond lors de l’impact initial, mais les profondeurs exactes restent inexpliquées. »

En levant le voile sur la composition, l’atmosphère et le magnétisme de Mercure, les scientifiques espèrent mieux comprendre l’évolution des planètes terrestres. Rappelons-le, seuls deux engins de la NASA ont précédemment osé explorer la planète la plus vive du système solaire, atteignant 29 miles par seconde. Prochaines escales pour BepiColombo : décembre et janvier 2025.

Pour conclure, disons que même si Mercure donne du fil à retordre à notre sonde, BepiColombo avance à plein régime, glissant comme une étoile filante vers des révélations éclatantes.

Source : Mashable

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