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Credits image : Dan Cristian Pădureț / Unsplash

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Quand Fisker pêche, il faut revoir la pêche

“Tout ce qui brille n’est pas or. Parfois, c’est juste une voiture électrique en panne.” Ah, le monde des startups ! Laissez-moi vous raconter l’histoire rocambolesque de Fisker, une entreprise de voitures électriques qui a tenté de faire payer ses clients pour des réparations de rappel. Heureusement, tout ne s’est pas passé comme prévu.

Imaginez recevoir un email un dimanche soir vous annonçant que, oui, votre belle SUV Ocean a besoin de réparations. Fisker, dans un premier jet de sa page FAQ, a annoncé à ses clients que certaines réparations critiques, comme la perte soudaine de puissance ou les avertissements erronés, seraient faites gratuitement grâce à des mises à jour logicielles. Jusque-là, pas de soucis, la tech au service de la sécurité !

Mais attention, car les ennuis ne faisaient que commencer. Pour d’autres problèmes comme les poignées de portes défectueuses et la pompe à eau électrique capricieuse, Fisker a d’abord pensé faire payer le coût de la main-d’œuvre à ses clients. Oui, vous avez bien lu : « On vous offre les pièces, mais à vous de régler l’addition pour les réparations. » Aucune surprise que cette idée n’ait pas fait l’unanimité !

La roue tourne, même pour les entreprises en difficulté.

Il semble que Fisker ait finalement pris le bon virage. En pleine phase de redressement de son processus de faillite sous le Chapitre 11, l’entreprise a revisité sa page FAQ pour dire que les réparations seraient maintenant entièrement prises en charge, main-d’œuvre comprise. Une bonne décision pour une entreprise en quête de rédemption.

Alors que Fisker entre dans son quatrième mois de bankruptcy, elle a trouvé un terrain d’entente avec ses créanciers et fournisseurs. Un gros coup de pouce à ces négociations a été la vente quasi-totalité de ses véhicules restants pour la coquette somme de 46,25 millions de dollars. Avec cette manne financière, ils peuvent désormais commencer à rembourser une partie de leurs dettes et à dissoudre leurs actifs restants, principalement des équipements de fabrication lourdement valorisés.

Le prochain rendez-vous pour Fisker ? Une audience début octobre où un juge pourrait approuver le plan de règlement élaboré cet été. Pour une entreprise qui titube encore, c’est une lueur d’espoir significative. Une affaire à suivre de très près, chers lecteurs, car dans le monde des startups, l’histoire est loin d’être terminée.

Mise à jour : Cet article a été initialement publié le 16 septembre et a été mis à jour le 18 septembre pour refléter le pivot de Fisker.

Source : Techcrunch

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