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Credits image : Noah Angelo / Unsplash

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X-près des pesetas: Retour de flamme brésilien

« Un tweet par jour éloigne les amendes lourdes » – serait-ce le mantra de X, anciennement connu sous le nom de Twitter? Enfin, jusqu’à ce qu’Elon Musk, notre cher gourou technologique, entre en scène avec son portefeuille imposant pour régler la note.

Jeudi dernier, X (vous savez, ce réseau social anciennement appelé Twitter avant que Musk ne décide que les lettres de l’alphabet ne sont pas assez branchées), pourrait enfin retrouver ses airs cariocas au Brésil. Oui, vous avez bien lu. Le géant des médias sociaux serait prêt à revenir dans le pays de la samba… à condition de sortir le portefeuille.

Alexandre de Moraes, juge de la Cour suprême brésilienne, a indiqué qu’X pourrait reprendre ses activités immédiatement s’il débourse une modique somme de 10 millions de réais, soit environ 1,9 millions de dollars. Cette somme s’ajoute à la facture de 18,3 millions de réais (environ 3,4 millions de dollars) qu’ils devaient déjà régler. Une pause de Twitter au Brésil est un disastre… enfin sauf pour les concurrents qui ont profité de la situation.

Il semble que la Twitter-sphère ne pourra éviter la tempête brésilienne sans ouvrir son porte-monnaie.

Tout ce cafouillage découle de la lutte acharnée menée par Moraes contre la désinformation électorale en ligne. Elon Musk a même qualifié Moraes de « démissionnable » et souhaitait son impeachment. La compagnie, face à cette tourmente légale, avait décidé de faire ses valises en août dernier et dire adieu à la plage brésilienne.

Cependant, quelques mois et plus tard, X a fait un surprenant retournement de situation et semblait vouloir capituler. Non seulement ils ont bloqué les fameux comptes litigieux, mais ils ont aussi payé les amendes et nommé un représentant légal au Brésil. Cependant, une nouvelle amende a vu le jour lorsque X, apparemment par hasard technique (merci Cloudflare), a recommencé à fonctionner au Brésil plus tôt ce mois-ci.

Dans une annonce officielle, l’équipe des affaires gouvernementales mondiales de X a confirmé sa décision stratégie, mentionnant qu’ils respectent la souveraineté des pays où ils opèrent et qu’offrir un accès aux utilisateurs brésiliens est crucial pour une démocratie florissante. Bon, il semblerait que la « démocratie florissante » a un prix…

En définitive, qui aurait cru que la résurrection de X au Brésil nécessiterait tant d’opérations bancaires ? La leçon du jour : peut-être que le X ne marque plus seulement l’emplacement du trésor, mais aussi la note à payer.

Source : Techcrunch

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