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La fusion de Tier et Dott change-t-elle vraiment le visage de la micromobilité ?

Pourquoi les entreprises se tournent-elles vers les fusions dans le secteur de la micromobilité ?

Deux startups de premier plan dans le domaine de la micromobilité, Tier et Dott, ont décidé de fusionner pour former une seule entité nommée Dott. Mais, qu’est-ce qui motive réellement cette union ? Est-ce simplement une question de rentabilité ?

Il s’avère que la micromobilité est un domaine où les marges sont particulièrement minces. Dans une industrie où chaque centime compte, l’ampleur de l’opération est cruciale. Comment alors, cette fusion pourrait-elle améliorer l’économie unitaire et augmenter la flotte de véhicules disponibles pour rivaliser avec d’autres géants comme Lime ?

Le regroupement des flottes Tier et Dott sur une seule application marque un tournant stratégique.

Henri Moissinac, PDG de Dott, explique que l’objectif est d’opérer comme une seule entreprise avec une seule technologie et un ensemble unique de pratiques opérationnelles. Pourquoi cette harmonisation est-elle essentielle pour les utilisateurs finaux ? Et comment les utilisateurs de Tier sont-ils intégrés dans cette nouvelle ère de Dott ?

Les scooters et vélos électriques de Tier ne disparaissent pas pour autant. Au lieu de cela, ils sont simplement rebrandés avec des autocollants Dott. Une simple opération de « rebranding » mais qui soulève une question : quels défis ont-ils rencontrés en fusionnant les deux flottes sur une seule et même technologie ?

La nouvelle flotte Dott couvre maintenant 427 villes en Europe et au Moyen-Orient. Donc, où verra-t-on concrètement la différence pour les utilisateurs dans ces villes ? Avec plus de 10 millions d’utilisateurs uniques et 100 millions de trajets, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Néanmoins, cette fusion peut-elle réellement augmenter la fréquence d’utilisation et attirer plus de clients locaux ?

L’accent est mis sur l’usage local et récurrent, notamment avec des passes promotionnelles. Par exemple, Paris propose un pass qui réduit considérablement le coût des trajets. Mais est-ce que de telles initiatives sont suffisantes pour maintenir l’attrait des utilisateurs à long terme ?

Enfin, la fusion a permis de lever 60 millions d’euros, une somme qui pourrait offrir de nouvelles opportunités. Mais dans quelle mesure l’injection de ces fonds pourra-t-elle transformer le paysage de la micromobilité ? Tier et Dott ont-t’ils vraiment trouvé la clé de la rentabilité dans un marché si compétitif ?

Source : Techcrunch

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