« Nous vivons une époque où un million de likes vaut mieux qu’un ami sincère. » Avec ces mots accrocheurs, plongeons dans le monde des réseaux sociaux, où chaque clic, vue, et partage est une danse de dopamine que même TikTok maîtrise mieux que personne.
Ah, TikTok, ce petit coin de paradis numérique où tout n’est qu’histoires de chats mignons et challenges de danse, n’est pas aussi innocent qu’il n’y paraît. Selon un rapport de NPR, des documents internes récemment révélés montrent que TikTok sait très bien que ses fonctionnalités peuvent être aussi addictives qu’une série Netflix en plein cliffhanger, surtout pour les jeunes utilisateurs. Et apparemment, cela rend nos ados aussi dépendants que des chats friands de friandises.
Oh, mais attendez, il y a plus! Kentucky, ainsi qu’une douzaine d’autres États, ont récemment attaqué TikTok en justice. L’accusation ? L’application serait conçue comme une machine à addiction, visant en particulier les enfants. Kentucky AG Russell Coleman n’a pas mâché ses mots, soulignant que la plateforme était une véritable forteresse de piège numérique, rendant les enfants incapables de quitter des yeux cet écran chatoyant – même le chien du voisin Grognon a levé les sourcils en apprenant cela.
Et si finalement TikTok était le nouvel hamster wheel, divertissant mais infiniment fatiguant ?
En y regardant de plus près, il semble que les bulles de filtres de TikTok sont aussi immersives qu’un feuilleton à suspense. Une immersion totale qui conduit les utilisateurs dans des vortex de contenu émotionnellement troublant, comme « painhub » et « sadnotes ». L’algorithme guette, prêt à vous engloutir tout entier, tel un aspirateur possédé.
Mais voilà, pas de panique : les modérateurs de TikTok sont là… ah non, attendez ! Selon le rapport, les modérateurs semblent avoir quelques soucis lorsqu’il s’agit de retirer du contenu ou de gérer les utilisateurs mineurs impliqués dans des activités peu recommandables. Les règles ? Eh bien, elles sont faites pour être ignorées, à ce qu’il paraît.
Et comme toute bonne affaire intrigante, TikTok a sa défense au garde-à-vous. Alex Haurek, porte-parole de TikTok, a affirmé que les accusations de la part du Kentucky étaient de la pure exagération, citant des fonctionnalités de sécurité innovantes telles que les limites de temps d’écran et le mode familial. Mais tout le monde sait que même une pauvre application ne peut plaire à tout le monde, n’est-ce pas ?
En fin de compte, si TikTok a transformé certains de ses utilisateurs en véritables marathoniens du défilement d’écran, peut-être qu’il est temps pour nous tous de nous demander : à quand un outil pour nous faire courir vers la porte de sortie ? Après tout, TikTok ou pas, notre cerveau ne vaut peut-être pas un challenge de danse en plus.
Source : Engadget
