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Credits image : Scott Graham / Unsplash

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Données en X: l’IA se rhabille pour l’hiver

« L’IA, c’est comme une boîte de chocolat. On ne sait jamais sur quel algorithme on va tomber. » Adaptant Forrest Gump à l’univers de X, un réseau social bien connu, la nouvelle politique de confidentialité semble faite sur mesure pour intriguer, voire inquiéter les plus curieux d’entre nous.

Dans un retournement à la sauce technologique que personne n’attendait, X a décidé de pimenter son quotidien et celui de ses utilisateurs. À partir du 15 novembre 2024, ses utilisateurs devront partager leur canapé avec de mystérieux « collaborateurs tiers ». En termes simples, X va désormais partager nos paroles numériques pour entraîner des modèles d’intelligence artificielle. Puisque rien n’est secret sur Internet, autant faire un pas de plus vers la transparence… ou la monétisation, c’est selon.

Toutefois, une petite histoire humoristique du ’bouton opt-out’ se glisse dans la mise à jour de X. Allez comprendre : cette option existe, mais sa découverte reste un mystère digne d’un roman policier. Promis, juré, c’est là — mais où, exactement ? Peut-être entre les lignes d’un menu de paramètres caché ?

Gérer ses données en ligne, c’est comme jouer à cache-cache avec un algorithme: on se demande qui trouve qui en premier.

Mais derrière tout cela, X a flairé le bon filon. La vente de données pourrait bien remplir sa tirelire alors que les annonceurs mettent les voiles. Pourtant, n’oublions pas que ce pactole potentiel soulève des questions de confiance et d’éthique, des sujets plus chauds qu’un processeur surmené.

N’oublions pas la stratégie semblable à une chasse au trésor pour contrer le « scraping ». X, avec son arme secrète de ‘dommages liquidés’, prévoit de facturer des montants salés pour ceux qui ont l’audace d’accéder à trop de tweets. Notre ami Elon n’a jamais caché sa détestation de ce phénomène, à tel point que certains sont aujourd’hui tentés de lire ses tweets depuis Mars, tant la tâche devient ardue !

Elon Musk a montré les dents face aux soubresauts de l’arène virtuelle, arguant d’un bloc contre les scrapers et en multipliant les barrières API. Cela ressemble un peu à un épisode de Black Mirror, cette somme de stratagèmes pour cloîtrer une plateforme tout en bataillant avec une boîte de pandore qu’il déroule à moitié.

En conclusion, si Musk et son équipe adoptent ces mesures, les utilisateurs, eux, assistent à un spectacle où la technologie, la protection et les affaires dansent sur la même partition. Mais attention à ne pas perdre le rythme, car à trop chercher à tout contrôler, X pourrait finir par devenir un véritable… « Twister » !

Source : Engadget

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