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Credits image : Pavel Neznanov / Unsplash

Intelligence ArtificielleTechnologie
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Si l’IA m’était contée

D’aucuns disent que « programmer, c’est parler avec les ordinateurs, sauf qu’ils ne répondent en code binaire ». Ironie du sort, l’IA semblait avoir du mal à articuler sa réplique! Sujet essentiel du moment : comment faire pour que nos amis numériques parlent couramment « langage humain », côté développeurs bien sûr.

Le hic, selon quelques cerveaux derrière une startup américaine, c’est que les grands modèles de langage (LLM) s’expriment dans un dialecte alien digne d’un épisode de Star Trek. Voilà où intervient Dottxt avec sa baguette magique : « faire parler l’IA en binaire exquis », et elle ne le fait pas via la torture des prompts — R.I.P. chantage émotionnel sur ChatGPT.

Avec l’outil open source Outlines, fini les menaces de capture du minou. Dottxt, mené par l’éloquent Rémi Louf, offre une approche polie et structurée. Au lieu de charabiater les LLM, ils nous ramènent à des cheminements traditionnels d’ingénierie, où l’on affine sa grammaire sans les cris et chuchotements intempestifs dus à une mauvaise communication intergalactique.

Dottxt mise sur la génération structurée, fermant l’écart entre l’homme et la machine, et prouve que l’évolution AI ne doit pas rimer avec H.A.L. 9000.

Mais vous comprendrez que le véritable défi du 21e siècle n’est pas l’échange cordial de codes avec son CPU préféré, mais bien de recruter une équipe qui parle aussi bien Python qu’espéranto. Rémi Louf, docteur ès tout ce qui est complexe et stats bayésiennes en poche, a orchestré cet orchestre informatique.

Aujourd’hui, Dottxt se la joue startup prometteuse, accès d’échelle et exaltation de l’open source lui ayant rapporté quelques millions de dollars en fonds. Un gros coup de chapeau du CTO de Hugging Face semble valider leur approche. Finalement, les générations de modèles deviennent structurées, et ce n’est même pas leur dernier mot.

Sur leur lancée ambitieuse, rien de mieux qu’une équipe renforcée, atteignant maintenant 17 individus, le tout dans l’optique de servir le Saint Graal d’une adoption accélérée. Car l’adhésion prime sur le commerce, quitte à lâcher les chiens de l’entreprise IA d’ici six mois.

Osons espérer que le soufflé IA n’est plus à une crise d’asthme près et que Dottxt ne gaspillera pas ses cartouches face à des milieux d’entreprise enfin prêts à capter le potentiel latent de l’IA. Après tout, qui sait — même les modèles d’entraînement en AI aiment un bon puits de données en guise de pause-déjeuner.

Les industriels se pressent pour goûter à cette osmose technologique vue par Julien Chaumond comme « l’avenir des LLMs ». Entre vent arrière favorisant l’adoption et symbole d’une révolution technologique, les conseils structurés de Louf résonneront peut-être bientôt en harmonies connues.

Et comme le dit si bien Rémi Louf : « D’ici quelques années, tout le monde parlera génération structurée, et il se pourrait que même l’IA s’écrie – Oh my code! »

Source : Techcrunch

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