“Si l’on veut être éco-logique, il est temps de brancher la prise de conscience!”
Alors que les élections présidentielles américaines approchent à grands pas, 2024 réserve quelques surprises au niveau technologique et écologique. Oui, vous avez bien entendu, ce ne sont ni les réseaux sociaux ni l’intelligence artificielle qui volent la vedette, mais bien les voitures électriques! Kamala Harris et Donald Trump ont chacun leur vision sur la transition énergétique, et il faut dire que le débat est plus endiablé qu’une Tesla sur l’autoroute.
Kicking off with Kamala Harris, notre future pilote des énergies renouvelées (ou pas) n’a pas encore lancé de nouvelles initiatives majeures sur les EVs ou l’énergie propre lors de sa campagne. Toutefois, à la manière d’un barista de Starbucks, elle continue de servir les efforts déjà concoctés par l’administration Biden. On pense notamment à l’Infrastructure Investment and Jobs Act et à l’Inflation Reduction Act (IRA), où des milliards de dollars sont investis dans des bornes de recharge, des crédits d’impôt pour EVs, et bien plus encore! Ah, et n’oublions pas ces initiatives qui créent des emplois verts plus rapidement que vous ne pouvez dire « photovoltaïque »!
Il semble que l’avenir des voitures soit électrisant, à condition qu’il passe par un réseau de prises à haute tension.
Quant à Donald Trump, on pourrait dire que sa politique en matière de véhicules électriques et d’énergie propre se réduit à un « drill, baby, drill » endiablé. Le retour de Trump promet de rouler sur les réglementations établies par Biden aussi sûrement qu’un monster truck sur une poupée Barbie. Adieu les crédits d’impôt pour EVs, bonjour le pétrole et le gaz! Et si une voiture électrique vous parle, il répondra probablement que seule une voiture à essence a assez de « vroum » pour échapper aux normes imposées!
Bien que Trump ait un faible pour Elon Musk et sa flotte électrique, il persiste à vouloir ouvrir les vannes du pétrole et mettre un frein aux normes d’émission. En matière d’énergie propre, il semblerait que le vent ne souffle pas du bon côté pour Donald, qui préfère largement les foreuses aux éoliennes, et les centrales nucléaires aux fermes solaires!
En somme, si Harris est en concurrence pour un avenir où la tasse de café est rechargeable (sur une borne), Trump mise sur le retour du bon vieux mug en plastique. Alors, entre la dose énergétique de Kamala et le café carbo de Donald, l’électorat américain devra trancher.
Pour finir, espérons que les futurs débats ne manquent pas de watt(s) !
Source : Engadget