Ils disent que « le travail, c’est la santé », mais encore faut-il avoir un emploi ! Heureusement pour les travailleurs horaires américains, un rayon de soleil apparaît à l’horizon numérique grâce à JobGet, une startup de Boston, qui vient de mettre la main sur son rival Snagajob. Dans ce duel du Far West de la chasse à l’emploi, c’est JobGet qui tire le premier. N’oubliez pas votre chapeau et suivons ensemble cette épopée moderne.
Avec cette acquisition, JobGet se pare des plumes du paon et annonce devenir la plus grande plateforme du pays dédiée aux travailleurs de première ligne et aux horaires variables, tentant de séduire les quelques 100 millions de travailleurs potentiels. Mais avant de crier victoire et de parader, le chiffre exact d’utilisateurs actifs reste un mystère bien gardé. Peu importe, des millions d’emplois ont déjà éclos grâce à elle.
Quand on aime, on ne compte pas, mais parlons tout de même argent. La dernière note de valeur pour JobGet se situait à 440 millions de dollars, tout frais de l’année passée. Parallèlement, entre nous, Snagajob, vieux de 25 ans, avait levé 387 millions de fonds mais sa valeur, figée dans le temps, date d’une décennie. Un peu poussiéreux ce chiffre, non?
La fusion c’est comme une danse de tango; chacun doit faire un pas vers l’autre sans piétiner sa fierté.
Pourquoi ce mariage à l’américaine maintenant ? Il semblerait que la vague de consolidation dans le secteur fasse son opéra. À l’affût, JobGet et Snagajob ont décidé de ne plus jouer les solistes en unifiant leurs efforts numériques. Dans cette danse du marché high-tech, les flots de capitaux se raréfient et l’IA change la donne; l’heure est au regroupement stratégique.
Avec un panel de fonctionnalités ludiques, JobGet se targue d’être “construit pour les besoins de la génération TikTok”. Rien que ça. Son “JobGenie” est une sorte de page « Pour Toi », où l’intelligence artificielle concocte des recommandations professionnelles taillées sur mesure comme les chaînes de vidéos que vous dévorez. Une ode à l’instantanéité, c’est cela que recherchent les seekers d’emplois modernes!
Dans les coulisses, Tony Liu, maestro fondateur de JobGet, orchestre la scène en affirmant vouloir créer « des voies d’emploi accessibles pour les travailleurs quotidiens ». Une belle symphonie pour ces chercheurs d’emploi souvent esclaves du chronomètre timbré. Keith Forshew, capitaine de l’équipe Snagajob, assure quant à lui ses troupes que l’aventure continue avec “une expérience inégalée”. Bref, ils ont de quoi chanter un bel hymne à l’innovation.
Alors, que retenir de cette danse de la jongle numérique? À l’heure où nombre de startups voient leur étoile argentée s’éteindre, JobGet et Snagajob tentent de rallumer la flamme avec panache. Il est certain qu’avec leur fusion, les travailleurs et les recruteurs auront enfin de quoi croquer à pleines dents les opportunités qui se présentent.
En somme, c’est l’union sacrée pour aider les travailleurs à décrocher cet emploi de rêve : n’est-ce pas là une merveilleuse « complici-Teeeming »!
Source : Techcrunch