« Quand la technologie s’éteint, c’est comme si les ampoules de nos esprits se déconnectaient. » C’est un peu le scénario qui s’est déroulé pour ENGlobal Corporation, l’ami informaticien des géants de l’énergie des États-Unis, récemment confronté à un accès fantôme sur ses systèmes IT.
Dans l’univers effervescent des équipements high-tech, ENGlobal a tiré la sonnette d’alarme en ouvrant un dossier 8-K auprès de la SEC. Imaginez ça : la veille de Thanksgiving, le 25 novembre, un « incident de cybersécurité » apparaît sur leur radar, halo de mystère et de données encryptées – probablement un gentil petit ransomware invitant à dîner.
ENGlobal, soldat du numérique au service de la défense nationale et des énergies novatrices, ne prend pas la cyberattaque à la légère. Une enquête est en cours, multipliant les clics et les checks pour retrouver la paix des fichiers électroniques.
Faire face à une cyberattaque, c’est comme essayer de remettre le dentifrice dans le tube – tout un programme !
Quant au moment où le retour à la normale sera possible, c’est le mystère entier. L’entreprise avoue ne pas savoir si cet épisode aura un impact financier significatif. Les emplois du temps restent en suspens, tels des guirlandes lumineuses avant leur mise en service.
Qu’on se le dise, dans le cyberespace, seul le papier peint galactique de l’incertitude est éternel. D’ici là, nul besoin d’être devin pour imaginer que les serveurs d’ENGlobal croisent les doigts pour que les éléments numériques leur accorde un peu de répit.
D’attaque en attaque, il semblerait qu’ENGlobal ait plus que jamais besoin de mettre les bons pare-feux au bon endroit – et pourquoi pas avec un petit brin d’humour (après tout, un peu de rire informatique n’a jamais cassé un pixel).
Source : Techcrunch