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Credits image : NordWood Themes / Unsplash

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Un Pegasus dans les rouages du smartphone

« La vie sans buts, c’est comme un téléphone sans appels. » Voilà qui introduit parfaitement notre aventure du jour dans l’univers des téléphones accaparés. Du moins, dans un certain sens, puisque nous allons parler de la dernière frasque technologique : Pegasus, ce logiciel espion qui s’attaque à nos chers smartphones, allant même jusqu’aux recoins de nos entreprises florissantes.

Imaginez le choc pour le leader d’une grande entreprise, tout tranquille chez lui, pensant maîtriser les touches de son iPhone, lorsqu’un jour, iVerify lui révèle que son appareil a été la cible de Pegasus. Il n’est pourtant pas le premier à être la proie de pareille attaque, un cas similaire ressemblant à un film d’espionnage a déjà mis la lumière sur le cher Jeff Bezos. En croisant anxiété et anonymat, le chef d’iVerify, Rocky Cole, a souligné que ce PDG mystère n’était pas au bout de ses surprises.

En fouillant dans les entrailles numériques de nos iPhones et iPads, l’application iVerify découvre des notes inquiétantes. Plus précisément, sept iPhones, parmi les 2 500 soumis à une autopsie technologique, se sont distingués par des signaux d’anomalie. Chiffres impressionnants, certes, mais peut-on se reposer sur cette moyenne ? Après tout, il s’agit d’utilisateurs à haut risque déjà habitués à être dans le collimateur des États.

Les murs ont des oreilles… et les iPhones ont Pegasus, chacun sa spécialité !

Mais il reste une question : ces mobiles était-ils compromis au moment où iVerify a identifié ces signaux mystérieux ? Nous n’en sommes pas certains, bien que ces anomalies puissent remonter à des épisodes passés de compromission. C’est comme fouiller un grenier poussiéreux à la recherche d’indices temporels hackés.

Pendant ce temps, la prolifération des outils d’espionnage continue de titiller les enquêteurs en cybersécurité. Les accusations fusent et même le très connu NSO Group, concepteur de Pegasus, est souvent au coeur des discussions, car les exploits attribués à ce logiciel se retrouvent maintenant entre de nombreuses mains peu recommandables.

Nombreux sont les pays comme la Chine, l’Iran ou la Russie à réutiliser ces outils, de manière aussi discrète que des ninjas digitaux. Ainsi, nos Sherlock du numérique, alias iVerify, creusent la piste de Salt Typhoon, cette équipe de pirates affiliée à la Chine, pour voir si leur accès à nos réseaux permettrait de cibler des individus spécifiques.

Comme le dit si bien l’adage macaroni : « Un monowiel n’a pas d’yeux, mais il sait où il va. » Encore heureux qu’iVerify soit là pour nous guider à travers ces méandres technologiques avant que l’empire des données ne s’éclipse derrière des menaces invisibles. Et souvenez-vous, la prochaine fois que votre téléphone sonne, assurez-vous que ce n’est pas James Bond qui appelle !

Source : Techcrunch

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