Nicolas Chamfort disait : « Tout est illusion », et dans le monde mystérieux des startups, cette maxime prend tout son sens ! Prenons l’exemple croustillant de Bluesky, ce réseau social en pleine ébullition qui rêve de remettre l’oiseau bleu X sur un fil.
Bluesky, le petit ambitieux des réseaux sociaux, se penche actuellement sur un modèle d’abonnement pour séduire son public. Et attention, pas n’importe quel modèle : des maquettes aguichantes ont récemment fleuri sur leur GitHub, révélant une sélection de fonctionnalités premium fortement inspirées. Que ce soit des vidéos de meilleure qualité ou des avatars dignes des plus grandes stars, Bluesky pousse le vice jusqu’à envisager des badges de profil dignes de rois et reines numériques — mais chut, peut-être un simple leurre pour cacher leurs véritables intentions !
Lorsqu’on y regarde de plus près, on s’aperçoit que le gigot doré que Bluesky agite devant nos yeux pourrait inclure des merveilles comme des icônes d’application personnalisées, des traductions de publications en ligne, ou encore des dossiers de favoris. Hélas, ces délices hypothétiques pourraient très bien finir aux oubliettes, souligne l’équipe de Bluesky elle-même.
Ne confondez pas mirages et réalités, la frontière est parfois aussi floue qu’un écran mal calibré !
Le prix d’entrée pour cet Eldorado numérique serait de 8 dollars par mois, ou 72 dollars pour une année de douce connexion sous la bannière de Bluesky+. Un utilisateur aux yeux souvent plus curieux qu’un chat le dimanche, sous le pseudo de @saeri.xyz, a d’ailleurs partagé sa découverte de ces maquettes sur Bluesky, déclenchant une vague de réactions comme seul les réseaux peuvent en générer.
Quant à la vérification des profils, sujet sensible et épineux, Bluesky n’a pas encore dissipé tous les brouillards. Bien qu’une différence avec les vérifications payantes de X et Meta soit en discussion, il semblerait que la question de la paywall reste ouverte.
L’ingénieur logiciel Bluesky Dan Abramov, connu pour son passage par Meta, prévient les plus impatients : « Ne prenez pas pour argent comptant ces prémisses. Quand viendra l’heure, nous lèverons le voile sur la liste réelle des fonctionnalités. » Voilà de quoi faire fondre toutes les attentes et spéculations… au moins pour un temps.
Cependant, si les abonnements ne suffisent pas à remplir les caisses, le Big Boss de Bluesky, Jay Graber, envisage aussi des alternatives pour éclabousser le monde du net: entre la vente de domaines ou des algorithmes sur le marché, et même des publicités scintillantes ! Qui sait ce que l’avenir nous réserve ?
Un point reste certain : en matière d’innovation, le ciel est la seule limite, ou peut-être est-ce plutôt une simple illusion ? Après tout, dans l’univers des start-ups, tout est question de perspective. À la prochaine révolution numérique, il se pourrait bien qu’on entende dire que « le ciel était la limite, mais le réseau social est bien plus vaste ! »
Source : Techcrunch