« La chimie est une question d’alchimie, mais parfois, il suffit d’un peu d’IA pour tout changer! » Voilà le ton est donné. Dans un monde où la vitesse est reine et l’innovation est l’héroïne de l’histoire, Albert Invent frappe à nos portes avec ses promesses de révolutionner la recherche chimique.
Imaginez un monde où les chimistes ne se gratteraient plus la tête dans des laboratoires poussiéreux, mais laisseraient une IA faire les basses besognes. Albert Invent, c’est un peu le cupidon des molécules, prêt à jouer les entremetteurs grâce à sa plateforme Albert Breakthrough, amenant les interactions chimiques à des niveaux de romance que même Roméo et Juliette envieraient.
Propulsé par des esprits audacieux qui transforment la science des matériaux en une expérience magique, cette startup vient d’empocher un joli pactole de 22,5 millions de dollars pour son voyage ensorcelé. Avec des partenaires comme Coatue, le chemin était pavé d’or ou peut-être d’éléments chimiques
Avec Albert, la science dépasse la simple formule pour devenir une révolution.
Des géants de l’industrie comme Chemours, Solenis, et Henkel se pressent pour entrer dans le train de la chimie nouvelle génération. Et qui pourrait les blâmer? Après tout, qui ne voudrait pas prédire la toxicité d’un composé en un claquement de doigts numérique?
Nick Talken, l’homme à la barre d’Albert Invent, voit grand. Tel Léonard de Vinci des temps modernes, il rêve d’un monde où la chimie apporte des solutions tangibles, de la durabilité aux dispositifs médicaux personnalisés. Car oui, la seule limite à la chimie, c’est l’imagination de ceux qui l’explorent.
Nick et son compère Ken Kisner ne sont pas des nouveaux venus. Ces deux-là ont déjà joué les professeurs Maboule avec Molecule Corp, née humblement dans une remorque, et revendue avec panache à Henkel Corporation. Aujourd’hui, ils veulent conquérir le monde de l’IA chimique. Une ambition claire, comme ces 15 millions de structures chimiques qu’ils ont ingérées pour bâtir Albert Breakthrough.
Et que dire des autres investisseurs, Index Ventures, TCV, et F-Prime? On les voit déjà taper dans les mains, tout excités, aux perspectives d’un futur où la chimie et l’IA dansent un twist endiablé. « Excitant d’accompagner Albert », commente David Schneider de Coatue, et on ne pourrait être plus d’accord!
Mais, au final, n’oublions pas. Si parfois la chimie ne faisait pas bon ménage avec le reste de la science, avec l’aide d’Albert, elle pourrait bien passer de la soupe chimique à la crème de la crème. Et comme on dit chez nous, mieux vaut un Albert sur son bureau, qu’un chimiste en plein burn-out.
Source : Techcrunch