« Pour nettoyer, il faut parfois se salir les mains » – Une sagesse que Telegram a bien assimilée en 2024 ! Le geôlier derrière les barreaux est devenu le réformateur en dehors. Après un passage houleux en France pour son fondateur Pavel Durov, Telegram est sous pression pour se refaire une image de messager exemplaire.
Les autorités françaises n’ont pas rigolé quand elles ont arrêté Durov, l’accusant de tolérer des contenus peu recommandables sur sa plateforme. En réponse aux accusations, Telegram a tiré un tour d’une baguette magique digitale : un grand ménage de printemps en automne, avec un bilan impressionnant de 15,4 millions de groupes et canaux peu fréquentables supprimés en 2024 !
Ce n’est pas de la sorcellerie, mais de l’IA ! Les modérateurs soigneusement assistés par une intelligence artificielle de pointe ont permis cette métamorphose. Comme une baguette magique numérique, ces outils ont contribué à une purification rapide de la messagerie, de quoi rendre jaloux Merlin l’Enchanteur lui-même.
En dépit de ses ennuis en France, Durov orchestre à distance une symphonie de nettoyage.
Telegram a même inauguré une nouvelle page de modération pour mieux informer le public de ses efforts vertueux. Les graphes et chiffres dansent élégamment pour illustrer la grande synchronisation entre le marteau de la justice et la gomme technologique. Au cas où vous en doutiez, Durov n’est pas seulement un messager, mais aussi un chef d’orchestre du nettoyage numérique.
Quant à ses soucis avec la justice française, Durov est toujours en liberté sous caution, se promenant avec une étiquette de luxe à €5 millions. Mais son histoire judiciaire reste ouverte comme un livre à suspense, où le héros retourne aux pages pour mieux éradiquer les vilains pixels.
Résumé de l’histoire : bien que les lois européennes aient sonné le glas de la tranquillité de Durov, Telegram continue de naviguer en eaux troubles vers des contrées plus nettes et transparentes. Il semblerait que nettoyer les plateformes numériques soit devenu une odyssée moderne digne d’un roman de science-fiction, pour le bien de tous.
Évidemment, Durov espère que ses efforts montreront qu’il est plus ami du grand nettoyage que de la poussière numérique. En toute modestie, Telegram ne souhaite plus être le mouton noir technologique, mais plutôt, le cerbère des plateformes bien élevées. Après tout, qui ne voudrait pas être à la mode « propre » ?
Alors, chers lecteurs, retenez une chose : dans le monde numérique, il vaut mieux nettoyer un canal que de le renverser.
Source : Techcrunch