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Credits image : Maxim Tolchinskiy / Unsplash

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Quand l’IA donne un boulot de rêve

« Le futur appartient à ceux qui s’élévèvent AI-dessus du lot. » Peut-être aurait-on pu attribuer cette citation à Sebastian Siemiatkowski, le PDG flamboyant de Klarna. En effet, ce visionnaire de la fintech a récemment déclaré à Bloomberg TV que son entreprise avait cessé de recruter, et ce, grâce aux prouesses de l’IA générative. Quel tour de magie pour réduire ses effectifs en plaçant ses cartes intelligemment !

Toutefois, derrière cette apparente cure de minceur salariale, Klarna n’a pas tout à fait fermé les portes aux futurs collègues humains. Ouvertement, pour un effectif disparu, une forêt de CV s’épanouit sur leur site de recrutement. Ainsi, les déclarations sibyllines de Siemiatkowski prennent un tout autre visage à la lumière des faits. Utilisons donc un projecteur AI pour y voir plus clair.

En rifant un coup d’œil sur les chaises musicales des postes chez Klarna, le PDG annonce fièrement que l’IA est déjà capable de remplacer une panoplie d’emplois. Quand on l’entend crier fièrement que « ChatGPT fait le boulot de 700 humains », on en viendrait presque à croire que nos amis en silicium ont définitivement conquis leur indépendance professionnelle. Pourtant, la réalité n’est pas encore tout à fait aussi cyber-délirante.

Les choses ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être : l’IA et les humains coexistent encore chez Klarna.

Et pourtant, surprise ! Malgré les ambitions propulsées par des circuits imprimés, Klarna continue de recruter à l’ancienne pour plus de 50 postes à l’international. Apparemment, il paraît que quelques rôles critiques résistent encore et toujours à l’envahisseur digital, préservant ainsi un soupçon de tradition à l’ère du binaire. Loin d’un simple discours pour le frisson médiatique, la concrétisation de ces paroles doit encore faire ses preuves de manière tangible sur le terrain.

Siemiatkowski, en véritable prestidigitateur des finances, a même osé créer un deepfake de sa propre(image) personne pour présenter les résultats financiers de l’entreprise. Un casting où les CEO eux-mêmes deviennent remplaçables sous le feu des projecteurs AI ! Mixant innovation et stratégie de communication, le chef d’orchestre de Klarna sème simultanément doutes et fascination sur la nécessité de l’humain dans son propre rôle.

Vu l’effervescence tech ambiante, il est intéressant de noter que Klarna prépare son entrée en bourse — son IPO en pièces détachées serait-ce ? Il n’est pas insensé de penser que ce battage médiatique autour de l’IA soit plus une opération séduction pour les investisseurs, qu’une réelle transmutation des métiers de l’entreprise. Après tout, on dit bien que l’argent n’a pas d’odeur… mais il se pourrait qu’il ait un jour la voix de l’IA !

Et pour finir sur une note humoristique, si technophiles et pro-IA exagèrent, n’oublions pas qu’un jour, l’IA pourrait bien faire le café aussi… histoire de nous laisser un peu de temps pour philosopher (en pixels) sur notre avenir en tant qu’espèce de travailleurs !

Source : Techcrunch

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