« Dans le monde de la technologie, tout est possible… sauf marcher sur un câble USB sans souffrir! »
Google se retrouve en plein tumulte juridique alors que la justice américaine propose de scinder son navigateur Chrome pour dégonfler son monopole. Selon le juge Amit Mehta, Google aurait illégalement monopolisé la recherche en ligne, d’où cette pression pour des solutions drastiques. Les remèdes suggérés par le Département de la Justice des États-Unis (DOJ) incluent la vente du navigateur adoré des geeks et même un spin-off du système Android. Alors, qui a dit que la domination était synonyme de tranquillité ?
Entre les arguments échangés, Google ne plie pas face aux propositions du DOJ. La vice-présidente des affaires réglementaires, Lee-Anne Mullholland, n’a pas tardé à exprimer son désaccord. Selon elle, les propositions du DOJ ressemblent plus à une chasse aux sorcières qu’à une quête de justice. Offrir les requêtes privées de Google à ses concurrents ? Pour Mullholland, c’est un peu comme partager ses recettes de cookies avec la boulangerie d’en face.
Comment résoudre un monopole ? Demandez aux experts… ou faites comme Google et proposez vos propres solutions!
Pour raviver la flamme des innovations américaines sans perdre ses plumes, Google propose une nouvelle donne. Les deals de recherche avec Apple et Mozilla seraient maintenus, mais plus flexibles. Imaginez un iPhone avec des recherches par défaut différentes d’un iPad ! Et pourquoi pas plusieurs moteurs de recherche préinstallés sur les appareils Android ? Finalement, un peu comme opter entre chocolat noir, au lait ou blanc dans votre tablette préférée.
Le juge Mehta tranchera cette affaire en avril prochain. Mais attention, Google n’a pas dit son dernier mot. Avant même de tenter d’inverser la décision du mois d’août, l’entreprise veut discuter des meilleures façons de répondre aux décisions judiciaires. Comme quoi, dans la vie comme au tribunal, la palabre est souvent plus efficace que le coup de marteau. Si l’innovation est mère de toutes les solutions, espérons que cette bataille juridique aboutisse à quelque chose de plus substantiel qu’une simple bisbille numérique.
Et n’oubliez pas, peu importe comment cette histoire se conclut, à la fin, c’est toujours une question de savoir qui contrôle la souris… ou était-ce la maison ?
Source : Techcrunch