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La ranTAQlée des batteries innovantes

« Pourquoi chercher midi à quatorze heures quand on peut tout simplement réinventer la roue électrique ? » Voilà une question que la startup Daqus Energy semble avoir prise au pied de la lettre. Nichée dans l’ombre depuis quelques mois, Daqus murmure peut-être des secrets de batterie aux oreilles attentives.

Dans le petit monde des véhicules électriques, Daqus Energy espère bien faire parler d’elle avec son matériau révolutionnaire dénommé TAQ. L’objectif ? Alléger notre conscience écologique tout en réduisant notre porte-monnaie au rayon ‘batteries’. Sans faire trop de bruit, cette startup nous promet des cellules plus légères et économiques que leurs concurrentes, rien que ça !

Daqus Energy, discrète comme un ninja du MIT, a façonné TAQ avec amour et financement, grâce à un partenariat avec Lamborghini. Harish Banda, son co-fondateur, affirme avec fierté : « Aucun concurrent ne semble aussi bon que notre TAQ. » Et pendant que la compagnie grimpe les échelons de la production à grande échelle, tout le monde croise les doigts pour que leur matière ne soit pas une comète éphémère dans le ciel de l’innovation.

Ce sont peut-être les débuts de Daqus sur le devant de la scène, mais avec une levée de fonds de 6 millions de dollars, on peut dire qu’ils ne manquent pas de soutien pour électrifier la galerie des investisseurs. Cela suffira-t-il à conquérir le marché souvent obstrué des matériaux de batteries prometteurs mais disparus ?

Daqus espère en faire toute une pile avec son matériau TAQ, à condition que ses ambitions ne s’effondrent pas comme un château de cartes.

L’axe majeur de la révolution TAQ ? Son matériau cathodique, qui esquive le nickel et le cobalt pour se baser sur des composés carbonés, abondamment disponibles, et aux prix défiant toute concurrence. Harish Banda a même plaisanté sur le fait qu’ils sont « d’un coût aussi bas que possible ». Et avec une concoction qui ne nécessite qu’une chaleur douce de 120 degrés Celsius, cela laisse présager une fabrication plus économe en énergie.

Les conducteurs apprécieront sans doute la promesse d’un futur où les batteries seront produites avec de l’équipement déjà en place, en permettant de remplacer des solvants nocifs par de l’eau. Voilà une méthode qui pourrait bien faire plus de vagues que le surf en Floride dans le monde des technologies propres.

Pas de répit pour Daqus, qui continue ses expériences dans son laboratoire du Massachusetts sur de petites piles de type ‘coin’. Ces dernières montrent des résultats encourageants: recharges effectuées 2,000 fois tout en maintenant au moins 80% de la capacité, et tout cela avec un petit sprint pour la recharge rapide en seulement six minutes.

Toutefois, le TAQ se veut un peu plus imposant que certains concurrents comme le NMC, mais Banda rappelle que sa légèreté permettrait d’alléger les véhicules. Et pourquoi pas un petit rêve sportif ? Moins lourdes et plus rapides, les voitures électriques de demain pourraient amener une nouvelle dynamique sur les circuits de course.

La prochaine étape ? Un avenir où le cœur des voitures ne sera plus seulement moteur mais aussi batterie, le tout, bien sûr assaisonné d’une touche de légèreté et d’efficacité. Daqus semble bien déterminée à prouver que la route du succès passe par la révolution des cathodes. Et si tout roule comme prévu, leur matériau véhiculera plus d’une surprise. Alors, prêt à mettre la gomme avec TAQ ? En tout cas, Daqus espère mettre tout le monde sur la voie de l’innovation avec la bonne charge de rires !

Source : Techcrunch

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