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Credits image : Traxer / Unsplash

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Les baleines cryptées : conservation ou innovation ?

« Un bon investisseur est comme un caméléon dans la jungle technologique. » Récemment, les portefeuilles de certaines baleines de la crypto, ces géants du monde numérique, ont été passés au peigne fin. Cela nous permet d’observer les tendances du marché et de comprendre les choix stratégiques de ces investisseurs.

Les données issues de six portefeuilles étudiés, représentant près de 500 millions de dollars, ont été fournies par Nansen. Leur point commun ? La majeure partie de leurs actifs sont situés sur la blockchain Ethereum. Parmi les actifs détenus par ces baleines, on retrouve principalement des tokens «enveloppés» (ou wrapped), qui sont des versions capitalisées de la monnaie d’origine ayant une valeur similaire, tels que le bitcoin enveloppé (wBTC) pour le bitcoin (BTC).

Ces baleines de la crypto sont plutôt conservatrices dans leurs choix d’actifs.

En creusant un peu plus, des aspects surprenants apparaissent concernant certains portefeuilles. Ces détails sont abordés plus en profondeur dans cet article.

Pendant ce temps, Hong Kong dévoile ses ambitions pour un cadre réglementaire des stablecoins d’ici 2024. Les autorités monétaires de la ville prennent les devants pour encadrer ces cryptomonnaies adossées à des actifs financiers traditionnels. Ainsi, elles sollicitent l’avis du public sur la question des stablecoins.

La société de capital-risque américaine Andreessen Horowitz, d’une valeur de 35 milliards de dollars, ouvre son premier bureau international à Londres. Ce dernier sera dirigé par Sriram Krishnan, General Partner, et se concentrera sur le soutien aux start-ups liées à la blockchain, la cryptomonnaie et la technologie web3. À ce jour, a16z a investi 7,6 milliards de dollars dans des startups de cryptomonnaies à travers le monde.

En conclusion, les baleines de la crypto sont plus conservatrices qu’on ne le pense, diversifiant leurs actifs avec prudence. Pendant qu’elles nagent dans les eaux de la technologie, il semblerait que les régulateurs et les entreprises travaillent ensemble, main dans la main, pour façonner l’avenir de l’écosystème.

Et comme dirait l’autre, il ne faut pas vendre la peau de la baleine avant de l’avoir cryptée !

Source : Techcrunch

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