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Credits image : Ales Nesetril / Unsplash

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Le Monde à portée de Click : quand la Tech fait sauter les frontières

Tout le monde sait que dans le monde des technologies, les frontières sont souvent plus virtuelles que réelles. C’est avec cet esprit d’ouverture que la chronique « Demander à Sophie » répond à toutes les questions liées à l’immigration pour ceux qui travaillent dans les entreprises technologiques. En guise d’humour sarcastique, on pourrait penser que Sophie Alcorn, avocate en immigration basée à Silicon Valley, dirait « Que les visas et permis de travail ne soient jamais un obstacle à vos rêves de geek! ».

Imaginez un instant que vous dirigez une start-up comptant environ 30 personnes à travers le monde, employées directement ou en co-emploi selon leur pays. Oh la belle diversité! Vous avez aidé certains membres de votre équipe à déménager de l’Ukraine et de la Russie vers divers pays non-Schengen tels que la Géorgie, Taiwan, la Thaïlande, la Turquie et l’Ouzbékistan. Vous commencez alors à vous demander si ces employés ne seraient pas plus utiles à votre entreprise s’ils étaient aux États-Unis… Un peu d’audace mêlée de folie, vous songez à ce que serait un monde idéal où la localisation de vos talents serait un non-sujet.

« Cher l’Art de Faire du Profit avec Sens, envisager de relocaliser vos employés talentueux aux États-Unis est un bel acte d’humanité. Que tous les humains profitent de la paix, la prospérité, et la liberté. »

Vous constatez alors que ce n’est pas une utopie. Beaucoup d’employeurs continuent de travailler avec des professionnels ukrainiens et russes ayant quitté leur maison depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie en février 2022. Seulement aux États-Unis, plus de 270 000 d’entre eux sont reçus, la plupart via le programme « Unir pour l’Ukraine », leur permettant un séjour temporaire et un permis de travail.

Rien qu’entre février 2022 et avril 2023, l’on estime qu’entre 500 000 à 1 million de personnes ont quitté la Russie, et des milliers de Russes ont cherché à entrer aux États-Unis. D’après les statistiques du gouvernement russe, environ 100 000 spécialistes des technologiques (soit environ 10% de la main-d’œuvre tech) auraient quitté le pays. Ce chiffre est probablement sous-estimé.

Alors voilà, votre monde idéal est très palpable. En travaillant avec un avocat en immigration, votre entreprise peut rechercher les meilleures options pour relocaliser vos employés ukrainiens et russes aux États-Unis. Selon leur éducation, leurs compétences, leurs qualifications, leur localisation et leur situation, la porte de l’Amérique pourrait s’ouvrir pour eux.

Par exemple, le programme « Unir pour l’Ukraine » permet aux citoyens ukrainiens et à leurs membres de famille immédiate de venir aux États-Unis pour un séjour de deux ans sous le statut temporaire de parole. L’entreprise pourrait alors parrainer ces employés pour des visas de travail ou des cartes vertes. L’imaginaire rencontre alors la réalité et la migration de talents n’est plus qu’une histoire de paperasses bien ficelées.

En conclusion, relever le défi de l’immigration est un investissement significatif pour tout lancement d’entreprise dans le monde de la technologie. Mais quand la start-up prospère, on peut affirmer sans se tromper… il n’y a pas de frontières à la réalisation de ses rêves. Et puis comme on dit, « Qui n’entreprend rien n’a ni échec ni réussite »… sauf que dans votre cas, le monde entier est un terrain de jeu pour les talents.

Source : Techcrunch

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