an abstract background of blue, green, and yellow colors

Credits image : vackground.com / Unsplash

Intelligence Artificielle
0

« Betaworks rend l’IA béta-toujours »

« L’homme a créé l’IA pour la commodité, mais la commodité semble parfois créer l’IA », voilà notre état d’esprit après avoir exploré le dernier lot de startups de l’accélérateur thématique de Betaworks, une entreprise pas du tout étrangère à l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique. Incroyable, non ? Pour John Borthwick, fondateur et PDG de Betaworks, l’idée est de donner à l’IA une place dans l’augmentation des capacités humaines et non une simple position de produit.

Cette approche semble incendiaire, cette année, l’accélérateur a reçu le double de candidatures par rapport à l’année dernière. Rien que ça ! Les yeux brillants de passion, Borthwick a partagé sa vision selon laquelle nous allons assister dans les 2-3 prochaines années à une explosion des entreprises utilisant des modèles IA pour augmenter et améliorer les flux de travail et comportements humains.

Allez, levons le voile sur notre petit chouchou : ChatGPT. Notre ami virtuel peut, sans fléchir, répondre à presque toutes vos questions ou vous aider à résoudre un problème de codage. Plutôt malin le bougre, non ? Comme dit le proverbe, « A l’aide de ChatGPT, mes tracas du quotidien se sont évanouis ! »

« ChatGPT, le petit compagnon virtuel qui vous résout vos problèmes du quotidien »

Rappelons tout de même que Betaworks s’est lancée joyeusement dans l’aventure de l’IA et de l’apprentissage automatique dès 2016. La compétition ? Ils l’ont laissée aux vestiaires. La stratégie ? Travailler étape par étape à l’intersection de l’apprentissage automatique et de différents domaines comme l’audio ou les médias synthétiques. Un pas après l’autre il paraît…

L’IA est envisagée comme le « vélo de l’esprit » plutôt que comme un produit purement générateur ou autonome. Mais attention, on ne parle pas de petits changements. Chaque entreprise sélectionnée recevra 500 000 $ de financement, s’ajoutant à toute somme déjà levée ! Ca donne le tourni, non ?

Chez Betaworks, l’IA n’est pas conçue comme une boîte à outils. Certes, certains projets ressemblent plus à des applications, d’autres relèvent plutôt de la catégorie middleware, mais le programme vise avant tout à trouver le produit qui va s’adapter au marché et à développer une feuille de route de produit. Exit les exercices de levée de fonds juste pour le show, ici on parle d’investissement sérieux.

Petite mention spéciale pour les 12 entreprises de cette cohorte qui ont su se distinguer par leurs idées novatrices. Parmi elles, Armilla Assurance qui offre une assurance contre les défaillances de l’IA, Bionic Health qui rend la santé préventive plus accessible grâce à un modèle alimenté par l’IA, ou encore Deftly, une plateforme ML qui donne un sens concret aux retours des clients. En voilà des idées futuristes !

En terminant, pour éviter de passer pour un AI-gnorant, rien de tel qu’un jeu de mots éloquent : « A l’école de l’IA, Betaworks reste béta-toujours ».

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.