« Si vous arrivez à lire cet article sans l’aide d’un traducteur, vous avez peut-être une compétence extraordinaire ! » humoristiquement parlant, c’est une excellente façon d’aborder notre sujet du jour, sans le divulguer pour autant. Parlons de Sophie Alcorn… Avez-vous déjà entendu parler d’elle? Elle est Avengers de l’immigration et la fondatrice d’Alcorn Immigration Law. Elle se bat pour connecter le monde, dépasser les frontières et étendre les opportunités en pratiquant le droit de l’immigration avec passion, vision et expertise.
Dans une de ses colonnes « Ask Sophie » (dédiées aux membres de TechCrunch +), elle propose des solutions astucieuses à des dilemmes complexes comme ceux rencontrés par notre chère et dynamique étudiante en STEM qui nous écrit depuis l’Inde. Avoir une start-up de technologie en tête tout en cherchant sa voie pour se frayer un chemin vers l’obtention d’un visa de travail relève du parcours du combattant. Elle aimerait faire sauter l’étape du visa H-1B en optant plutôt pour un visa O-1A. Et oui ! Vous avez bien entendu, a-t-elle des compétences exceptionnelles pour cela? Poursuivez votre lecture pour le découvrir.
Passer du visa étudiant au visa d’entrepreneur n’est pas une voie ordinaire, mais celle d’une capacité extraordinaire.
Sophie s’enthousiasme à l’écoute de cette volonté de sauter à pieds joints dans l’univers des fondateurs de start-ups. Mais comme toujours, elle recommande de consulter un avocat en immigration avant toute démarche. Il est tout à fait possible de contourner le visa H-1B, spécialisé dans les professions spécialisées, pour le visa O-1A de capacité extraordinaire. Il convient mieux aux fondateurs de start-ups, sans exigences strictes en matière d’éducation ou de salaire. Attention cependant, la barre pour se qualifier pour un O-1A est plus haute que pour le H-1B. Mais n’est-ce pas là le défi à relever ?
Pour qualifier votre start-up pour le OPT STEM et le O-1A, vous auriez besoin de la configurer correctement. Consultez un avocat d’entreprise pour déterminer la structure qui correspond le mieux à vos objectifs financiers et aux exigences en matière d’immigration. N’oubliez pas que chaque parcours est unique, les solutions sont sur mesure, même si les exigences semblent parfois uniformes.
Et voilà chers lecteurs, si vous envisagez de sauter les frontières pour un avenir plus techno-brillant, souvenez-vous des conseils de notre noble « Avengers de l’immigration ». La route peut paraître longue et sinueuse, mais croyez toujours en vos compétences, même si elles ne sont pas toujours « ordinaires ». Et qui sait, vous pourriez transformer le OPT STEM en voie extraordinaire vers le O-1A.
Et pour conclure sur un ton humoristique : Si vous avez apprécié cet article sans utiliser Google Translate, alors félicitations ! Vous pourriez être un bon candidat pour le visa O-1A. Cependant, si vous avez triché, ne vous inquiétez pas, nous ne dirons rien à l’Oncle Sam. C’est notre petit secret … jusqu’à ce que le cookie nous trahisse bien sûr !
Source : Techcrunch
