Comme le disait le grand Shakespeare « To be or not to be », et dans le milieu entrepreneurial, les start-ups se demandent particulièrement: être financé ou ne pas être financé ? Aujourd’hui, on se retrouve dans un contexte où lever des fonds n’est pas chose aisée. Nos fondateurs sont donc invités à tenir les rênes des dépenses autant que possible tout en cherchant la réconciliation auprès de leurs investisseurs.
Les investisseurs, avant de se lancer dans de nouvelles opérations de financement, cherchent bien sûr des preuves solides de réussite. Autrement dit, quoi de mieux que la « product-market fit », ce doux rêve de toutes les start-ups pour se faire remarquer ?
Il semble que la recette parfaite pour attirer l’attention des investisseurs est de jongler adroitement entre la maîtrise des dépenses et la démonstration de preuves de traction sur le marché.
Chez TechCrunch Disrupt, trois grands noms de l’investissement en début de phase ont révélé quelques conseils cruciaux pour les fondateurs sur la gestion de leur financement.
Parmi eux se trouvaient Anamitra Banerji, managing partner et fondateur d’Afore Capital, Frédérique Dame, general partner chez Google Ventures, et Rick Yang, partner et responsable de la technologie chez NEA. Là, si vous n’avez pas encore réussi à trouver votre public et à générer des revenus, il est sans doute temps de vous mettre en mode levée de fonds !
D’autres sujets brûlants ont été abordés, comme le futur de l’IA, la façon dont les fondateurs devraient aborder le marché total adressable (TAM) lorsque le capital-risque se fait rare, ou encore l’explosion du marché mondial du capital-risque.
Finalement, si vous vous demandez s’il faut ou non suivre le buzz du moment, sachez que les investisseurs sont ouverts aux adeptes du « moutonnage », mais recherchent avant tout des start-ups avec des avantages concurrentiels défendables et des équipes qualifiées qui peuvent devenir des leaders sur leur marché.
Source : Techcrunch