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« Bee Partners : Un Fin_fancement qui crée le _bzzz ! »

« Money attracts honey », une idée qui résume parfaitement la stratégie de Bee Partners. La firme de capital-risque, basée à San Francisco, vient de récolter un joli pot de 50 millions de dollars pour son quatrième fonds. Elle compte s’allier aux start-ups en pré-amorçage qui innovent dans les technologiess poussées, comme l’intelligence artificielle, le machine learning, la robotique et les technologies frontières. Michael Berolzheimer, le meneur de la ruche, n’a pas caché sa satisfaction : leur fonds a en effet été sur-souscrit.

Avec une augmentation de 40% de son flux d’opérations en un an, Bee Partners sent l’odeur du miel et du succès. Malgré un ralentissement des investissements dans le domaine des technologies poussées, celui-ci reste le deuxième secteur le plus investi au deuxième trimestre 2023, juste derrière l’énergie, nous informe Dealroom.co.

« L’enjeu est que beaucoup d’entreprises high-tech sont financées, mais elles ne reçoivent pas forcément les fonds qu’elles méritent, compte tenu des perturbations et des innovations qui émane de cet espace », déclare Berolzheimer, ajoutant qu’il y a encore beaucoup d’activité, même si elle est un peu plus discrète.

La ruche de Bee Partners est peuplée d’investisseurs variés allant d’universités basées à Boston à des bureaux familiaux aux États-Unis. Ceci lui permet de faire des offres que peu d’autres sociétés peuvent se permettre. Qu’il n’y ait pas de capital, pas de clients, et même pas de code, pas de problème ! Bee Partners est prête à investir même lorsque la start-up n’est pas encore formée. « On peut littéralement leur écrire le premier chèque quelques jours après la création, et on est à l’aise avec ça. Pour une équipe fondatrice, c’est très unique de pouvoir obtenir 500 000 $ ou 1 million $ d’un coup », affirme notre fin apiculteur financier.

Le rôle d’apiculture ne s’arrête pas là pour Bee Partners. Le modèle de partenariat, qui diffère de celui d’autres sociétés d’investissement, accompagne chaque entreprise du portefeuille en collaboration avec l’ensemble de son équipe de partenaires. Ce quatrième fonds a déjà investi 20% de son capital dans neuf entreprises, dont trois dans l’IA générative. L’une d’elles, Nova, a levé 2,4 millions de dollars pour protéger l’intégrité des marques. Cette année, la firme a aussi investi dans Pow.bio et a co-dirigé un tour de table pour Wellplaece, une plateforme d’achat de produits pour cabinets dentaires.

Ce quatrième fonds est le plus important à ce jour pour Bee Partners et porte son total à plus de 130 millions de dollars. La firme investit généralement dans 25 entreprises par fonds sur une période d’environ quatre ans, avec un investissement moyen de 800 000 $, mais avec des écarts allant de 350 000 $ à 1,5 million $. On peut dire que chez Bee Partners, ils ne font pas dans la demi-mesure !

Be it as it honey : Bee Partners, c’est l’essaim du succès !

Source : Techcrunch

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