Comment les écosystèmes de startups en Australie et en Nouvelle-Zélande parviennent-ils à prospérer malgré leur éloignement géographique des pôles technologiques traditionnels ?
Si l’on considère l’isolement géographique de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande, comment cette distance influence-t-elle leurs démarches pour lever des fonds et construire des produits d’envergure mondiale ? Ces contrées semblent adopter une approche singulière, dictée par le besoin d’agir vite et bien. Mais en quoi leur estragement joue-t-il à leur avantage ?
Peut-on vraiment comparer les écosystèmes de startups en Australie et en Nouvelle-Zélande avec des géants comme la Silicon Valley lorsque leurs marchés sont plus petits, et leur besoin d’accéder aux fonds internationaux plus critique, notamment dans des industries gourmandes en capital comme la deep tech ?
Les startups australiennes et néo-zélandaises pourraient-elles avoir découvert une formule unique pour réussir à l’international malgré, ou grâce à, leurs obstacles géographiques ?
Comment les investisseurs perçoivent-ils les startups d’Australie et de Nouvelle-Zélande, et quelle est la valeur ajoutée d’avoir des investisseurs locaux dans ces marchés éloignés ? Dan Krasnostein, de Square Peg Capital, partage que pour beaucoup de ces entreprises, leurs principaux marchés se trouvent à l’étranger. Il semble que les investisseurs locaux puissent jouer un rôle clé dans la croissance de ces startups. Quelle est donc la stratégie des startups pour attirer ces investisseurs essentiels ?
Finalement, pourrait-on conclure que l’éloignement de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande est un moteur qui pousse leurs startups à viser international dès le premier jour, transformant un inconvénient apparent en un avantage concurrentiel caractérisé par un produit mondial ? Est-ce que cette contrainte géographique est la pierre angulaire de leur succès insolent qui attire de plus en plus l’attention mondiale ?
Alors, le fait d’opérer depuis un marché plus réduit et isolé, est-ce un défi insurmontable ou une source d’ingéniosité sans pareille pour les startups australiennes et néo-zélandaises ? Pourrait-on assister à l’émergence d’une philosophie startup « Down Under » qui redéfinirait les règles du jeu entrepreneuriales à l’échelle globale ?
Source : Techcrunch