« Quand l’IA se met à parler, les hommes se taisent… Mais Greg Brockman, lui, tweete ! »
Ah, le techno-drame interminable d’OpenAI… Cette semaine, Greg Brockman, ex-président de la firme et sans emploi officiel chez eux (en tout cas, selon nos sources), a posté quelque chose de bien intrigant. Tenez-vous bien : une mise à jour sur une fonction de narration vocale pour leur fameux ChatGPT. Et attention, pas juste pour les VIP dorés sur tranche, mais pour tous les utilisateurs ! Incroyable, non ?
Entre vous et moi, Greg aime peut-être simplement fleurir son LinkedIn de bonnes actions. Ou peut-être que l’offre d’emploi de Microsoft n’était pas si solide que ça. Ou bien, ça se pourrait aussi que les négociations pour le retour de lui et de Sam Altman, l’ex-PDG d’OpenAI récemment remercié par le conseil d’administration, aillent bon train… Qui sait ? Les coulisses d’OpenAI sont plus mystérieuses qu’une recette secrète de soda.
L’histoire d’OpenAI est aussi enchevêtrée qu’une paire d’écouteurs oubliée au fond d’un sac.
Mais ne nous égarons pas trop. Parlons plutôt de cette fonctionnalité de ChatGPT, baptisée avec la créativité d’un comptable un vendredi après-midi : Voice. Annoncée en septembre et initialement réservée à l’élite payante, cette fonction permettrait à notre chatbot préféré de babiller de sa douce voix synthétique en utilisant juste une poignée de secondes d’échantillons de parole. En effet, OpenAI a, semble-t-il, fricoté avec des voix off professionnelles pour nous offrir cinq voix différentes. Et pour ne pas faire les choses à moitié, ils utilisent leur système de reconnaissance vocale maison, Whisper, pour transformer toute parole en texte.
Eh oui, si vous voulez que votre ChatGPT vous parle doucement à l’oreille pendant que vous préparez votre soufflé au fromage, il suffit de farfouiller dans les paramètres de l’application (Android ou iOS, non, on ne discrimine personne) et d’appuyer sur l’icône en forme de casque. Dingue, non ?
Source : Techcrunch