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Credits image : André François McKenzie / Unsplash

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Quand Midas touche de l’or, le marché turc des investissements voit grand!

« L’argent ne pousse pas sur les arbres, mais chez Midas, il semble au moins qu’il puisse se multiplier grâce à la magie des investissements! »

La start-up fintech Midas, basée en Turquie, vient de réaliser un tour de table de 45 millions de dollars, mené par le géant canadien Portage. Leur créneau? Permettre au commun des mortels – ou du moins aux 2 millions d’utilisateurs déjà conquis – d’investir dans les marchés boursiers américains et turcs sans avoir besoin d’un coffre à trésor pour les frais de transaction.

Ce qui était un marché plutôt confidentiel il y a trois ans avec seulement 1,5 million d’investisseurs pour une population avoisinant les 80 millions d’âmes, est aujourd’hui un terrain de jeu prometteur grâce à Midas. L’entreprise s’est faite remarquer non seulement par sa capacité à bousculer les codes avec une infrastructure solidement plantée dans le sol turc mais aussi en proposant une expérience utilisateur dorée.

« Midas ne se contente pas de changer des pierres en lingots, elle transforme les novices en investisseurs aguerris. »

À la façon d’un Robin des Bois des temps modernes, ou plutôt d’un Robinhood à l’américaine, Midas démocratise l’accès à l’investissement financier sans toutefois dérober aux riches pour donner aux pauvres. Au contraire, ils ont dû déployer des trésors d’ingéniosité pour offrir des services complets en interne, du nettoyage à la garde des biens sans passer par des tiers. Un exploit dans le monde de la finance!

Avec son récent pactole, Midas ne compte pas rester les bras croisés. La start-up prévoit de lancer trois nouveaux produits alléchants : le trading de cryptomonnaies, les fonds communs de placement et les comptes d’épargne. Mais pas question de garder cette manne financière juste pour la Turquie. Midas regarde au-delà des frontières, avec des visées sur les pays de la région MENA.

La participation à ce tour de table d’acteurs majeurs comme la International Finance Corporation, Spark Capital, ou encore Earlybird Digital East Fund témoigne de l’intérêt marqué pour la stratégie de développement de Midas. Surtout que cette levée de fonds est une des plus substantielles réalisées par une fintech turque récemment, surfant ainsi sur la vague de succès à l’instar de l’entreprise Param juste un peu devant.

« Midas a su saisir l’explosion de la demande sur le marché turc des investissements, en s’imposant comme la première plateforme d’investissement nativement digitale, » s’enthousiasme Cem Sertoglu, partenaire chez Earlybird Digital East Fund. Quant à Paul Desmarais III, magnat chez Portage, il voit en Midas le fer de lance d’une transformation profonde du paysage financier en Turquie, et même au-delà.

Source : Techcrunch

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