« L’argent ne fait pas le bonheur, mais il investit dans l’avenir. » – À quelque part, probablement un investisseur heureux.
Parlons d’une aventure titanesque dans le monde de la silicon valley, où les millions semblent aussi courants que les likes sur une publication d’Elon Musk. Eniac Ventures, un fonds basé à New York, a récemment bouclé une levée de fonds de 220 millions de dollars. Comme si c’était une pièce de puzzle supplémentaire dans leur stratégie ambitieuse, cette cagnotte se divise en deux fonds, dont un de 60 millions pour des investissements de suivi et un autre, Eniac VI, portant 160 millions d’or pour de nouvelles aventures.
Ce n’est pas la taille qui compte, c’est ce que vous en faites, semble nous dire Eniac avec une mise moyenne à 1,5 million de dollars par projet. Mais parfois, ils sortent le grand jeu avec des chèques pouvant atteindre 6 millions de dollars. Ah, générosité quand tu nous tiens!
La marmite d’Eniac mijote sur un feu d’intelligence artificielle, prouvant que même les généralistes ont leurs chouchous.
Oui, Eniac n’a pas de préférence sectorielle, se revendiquant agnostique, sauf quand il s’agit de l’IA. L’intelligence artificielle, c’est un peu comme le nouvel enfant prodige de la famille sur lequel ils mettent tous leurs espoirs depuis une décennie.
Mais ne vous y trompez pas, cette fascination pour l’IA n’est pas juste une lubie de geek. Selon eux, il s’agit de la plus grande révolution dans le monde de l’informatique depuis l’avènement d’internet. Rien que ça !
Chapeautant une famille de start-ups aussi diversifiée qu’une réunion de famille un peu bizarre – pensez à des noms comme 1up Health, Alloy, Anchor, jusqu’à Vungle – Eniac se targue aussi d’avoir été parmi les premiers à croire en Airbnb. Entre succès fulgurants et échecs formateurs, leur galerie de portraits est aussi colorée qu’une soirée chez les Kardashian.
Et en parlant de kermesse, malgré un contexte économique plus serré qu’un jean skinny, Eniac affirme avoir bouclé cette levée de fonds en un temps record. Un exploit qu’ils attribuent non sans fierté à leur capacité à générer des retours sur investissement intéressants, bien qu’ils restent discrets sur les chiffres.
Leur portefeuille ayant grossi comme un compte en banque après une introduction en bourse réussie, Eniac, qui a démarré avec un fonds modeste de 1,5 million en 2010, joue désormais dans la cour des grands. Alors, machine à cash ou visionnaires de génie? Peut-être un peu des deux, mais quoi qu’il en soit, le voyage d’Eniac prouve une fois de plus qu’en affaires, le risque, c’est comme les épices : bien dosé, ça peut vraiment tout changer!
Source : Techcrunch
