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FlexAI : Quand l’IA devient aussi simple qu’une commande de pizza

« Quand je pense à l’IA, je me dis toujours que c’est comme une baguette magique… mais sans mode d’emploi. » Voilà ce qui pourrait résumer la noble quête de FlexAI, une pétillante start-up française qui sort du bois avec une poche pleine d’euros et une idée aussi lumineuse qu’un écran OLED. Mais commençons par le commencement. FlexAI vient d’annoncer son grand plongeon dans le grand bain de l’intelligence artificielle avec un tour de table de 28,5 millions d’euros. Pour une levée de fonds en amorçage, avouons que cela a de quoi faire rougir plus d’un cochon de tirelire.

L’équipe derrière cette aventure, c’est un peu l’ »Avengers » de la tech. On parle là de Brijesh Tripathi, ancien de chez Nvidia et Apple, qui a même flirté professionnellement avec le grand Elon Musk chez Tesla. Et il n’est pas seul ! Dali Kilani, bras droit et CTO, a lui aussi un carnet d’adresse qui ferait pâlir LinkedIn. Ensemble, ils ont mijoté une offre qui promet de révolutionner le développement et l’entraînement des applications IA : un service cloud « à la demande » qui serait aussi facile à utiliser qu’un grille-pain. Enfin, presque.

« Avec FlexAI, préparez-vous à enfourcher le nuage de l’IA aussi facilement que vous commandez une pizza. »

Le constat de départ est simple : développer sur IA aujourd’hui, c’est un peu comme monter un meuble Ikea avec des instructions écrites en elfique. Il faut jongler entre GPUs, réseaux et logiciels avec la dextérité d’un contorsionniste. Tripathi et Kilani, forts de leurs années d’expérience, ont donc imaginé un service où tout cela serait géré en coulisses, laissant le développeur se concentrer sur… eh bien, développer.

FlexAI compte déployer son offre de services multicloud, où que vous soyez, quel que soit votre budget. Leur credo ? La simplicité d’usage alliée à une flexibilité digne d’un champion olympique de gymnastique. Dans leur univers, choisir entre Nvidia, AMD ou Intel pour vos calculs devient aussi anodin que de choisir la couleur de votre nouvelle voiture. Ils s’occupent de tout, même des pannes et des maux de tête administratifs, vous permettant de payer uniquement ce dont vous avez besoin. Fini le temps où utiliser de la puissance de calcul revenait à planifier une expédition sur Mars.

En gros, FlexAI veut faire de la location de puissance de calcul sur GPU une affaire aussi courante et accessible que louer un film en ligne. Grâce à des partenariats bien ficelés – notamment avec Intel et AMD, et peut-être même Nvidia si les rumeurs sont fondées – la start-up parisienne pourrait bien changer la donne. Non seulement pour les petits développeurs mais aussi pour les grands noms de la tech qui, jusqu’à présent, venait pleurer sur l’épaule de Nvidia.

Ce n’est pas tout. Avec un oeil sur l’avenir, Tripathi et Kilani réfléchissent déjà à construire leurs propres centres de données. Vous savez, un peu comme on assemblerait un Lego géant, mais avec des GPUs en guise de briques. La vision est claire : devenir un fournisseur de calcul à part entière, en utilisant les GPUs comme garantie pour des prêts bancaires. Astucieux, n’est-ce pas ?

Si FlexAI était un plat, ce serait sans doute une recette innovante, avec une pincée d’audace, un zeste de génie et beaucoup, beaucoup de puissance de calcul. Simplicité, efficacité, et une promesse alléchante : celle de démocratiser l’accès à l’IA pour tous. Après tout, n’est-ce pas là le but ultime de la technologie ? Et comme dirait l’autre, avec FlexAI, « l’intelligence artificielle n’a jamais été aussi facile à digérer. » Bon appétit !

Source : Techcrunch

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